1. Le pêcheur converti


    Datte: 03/04/2021, Catégories: fhh, hbi, inconnu, bizarre, plage, bain, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, Partouze / Groupe fdanus, hdanus, init, merveilleu,

    ... plus facilement. C’était comme une tendre soumission partagée. Tous trois, nous gémissions de désir et de bonheur sous les caresses de l’autre. Ils avaient uni leurs mains autour de ma queue et s’embrassaient, tandis qu’elle faisait aller et venir ses doigts dans mon cul d’homme, tandis qu’il lui faisait venir des cris voluptueux avec son doigt autour de son bouton d’amour, tandis que moi, je suçais, toujours et encore. De plus en plus vigoureusement, de plus en plus voracement. C’est ça, tout en étant soumis, je dominais aussi. Je l’implorais encore, je voulais qu’elle m’encule encore, encore, j’éprouvais juste ce qu’il faut d’humiliation pour ressentir le plaisir vertigineux d’être entre leurs mains, comme une "petite salope affamée" (je trouve pas les mots pour dire autrement), comme un petit salaud jouisseur, comme un tendre enculé, comme un suceur de queue insatiable que j’étais devenu. Et pourtant, je dominais aussi, car je sentais ma sirène toute excitée par le spectacle que je lui donnais, je suçais son homme sous ses yeux, avec la dévotion d’un nouveau converti, avec l’ardeur et fierté. La fierté du pédé tout neuf et innocent que j’étais. La fierté de le sentir sous mon emprise, avec ma langue qui descendait et remontait amoureusement sur son membre, avec ma main qui effleurait doucement ses tendres couilles, avec mes lèvres qui s’arrondissaient autour de son gland tendu de désir. Oui, j’étais humilié et pourtant fier, fier d’être "humilié", mais fier aussi de ...
    ... sucer si bien, fier de le sentir se donner tout comme moi, fier de le sentir devenir pédé lui aussi grâce à moi et ma bouche et mes caresses amoureuses. Il se tordait de plaisir, je le sentais vaincu, et j’étais de plus en plus amoureux de sa queue. Je la désirais de plus en plus, de plus en plus, je voulais le faire jouir et recevoir son sperme. Je ne saurais vous dire exactement ce qui se passa alors, car je crois que je perdis conscience. Une vague monstrueuse nous souleva, et d’effroi, de plaisir, de joie, nous hurlâmes tous les trois ensemble, nous étions submergés, nous coulions, mais qu’importe ! Ils pressaient ensemble ma queue, mes couilles comme un fruit mûr, je me tordais de plaisir, sentant mes fesses trempées par la mouille d’amour de la sirène qui telle une démone, se frottait contre mon cul soulevé par le désir. Mon sperme de mâle jaillit dans leurs mains réunies. J’avalais de plus belle la queue de son homme, je voulais tellement le faire jouir… Quel bonheur quand je reçus cette merveilleuse offrande, quand, à son tour son sperme jaillit dans ma bouche… Elle vint m’embrasser pour que nous nous partagions la semence de son homme. Lui aussi, il vint me donner de tendres baisers… oui, nous nous embrassions entre hommes ! Tels les deux tendres pédés que nous étions devenus, avec ce sperme sur nos lèvres qui nous unissaient. Tout cela continua en une mêlée de doux baisers échangés entre nous trois. Nous étions tous les trois comme unis à jamais par notre découverte ...