Journal de vacances (4)
Datte: 03/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... bizarrement lorsque je leur ai dit, après dîner, que j’allais seule chez nos voisins, à leur demande. J’ai juste et le temps de prendre une douche et de m’habiller, avant d’aller chez Liz et Gunther. (j’avais reçu des consignes par SMS pour ma tenue: ma robe la plus transparente sans rien dessous, mes talons les plus hauts, maquillage chargé..). En arrivant chez eux, j’ai vu un Porsche Cayenne immatriculé en Allemagne, garé sur l’allée à côté de leur Audi. Liz et Gunther n’étaient donc pas seuls, et je ne savais pas qui était là... Je me suis sentie me vider complètement, et je tremblais en appuyant sur la sonnette. Effectivement, il y avait un autre couple avec eux. C’est Gunther qui est venu m’ouvrir, et qui m’a reçue très froidement. Il m’a emmenée sur la terrasse, au bord de la piscine, et il m’a présentée à Eva et Gerhard. Liz était là aussi, et j’ai tout de suite remarqué sa tenue: corset en cuir noir, collant résille ouvert entre les cuisses, collier et bracelets en cuir noir aussi, chaussures à très hauts talons aiguilles. Eva était habillée dans le même style SM: minirobe en cuir noir aussi, ultracourte, dont le décolleté découvrait à demi les aréoles de ses seins en pointes, et bottines à hauts talons. — C’est Chloé, la salope qui a abusé de notre petite Sam, sans même nous en parler avant, a dit Liz pour me présenter. Elle est là ce soir pour être punie. — Elle va faire tout ce qu’on lui demande, a ajouté Gunther. D’abord, tu vas être notre domestique, et nous ...
... servir. Un magnum de champagne était posé sur la table, dans un seau à glace, avec des flûtes, et des plateaux de canapés. Je me suis dirigée vers la table, prête à remplir les flûtes, mais Liz m’a arrêtée, en me disant que ma tenue était trop pudique. Elle a empoigné le haut de ma robe, elle a tiré très fort. Une des bretelles a cassé, et le tissu s’est déchiré, découvrant mes seins nus. C’est à ce moment là que j’ai aperçu des godes, un fouet, et d’autres accessoires sur une autre table. Elle a pris deux petits anneaux reliés par une chaînette, elle a pincé mes aréoles pour les faire saillir davantage, et elle les a introduites dans les anneaux, avant de serrer de petites vis qui permettaient de les écraser. Ensuite, j’ai du les servir tous les quatre, comme une simple bonniche. Ils parlaient entre eux, le plus souvent en allemand, sans me porter la moindre attention. Sauf pour soulever ma robe de temps en temps, et me toucher, et constater en riant que je mouillais. Après un long moment, Liz s’est levée du canapé. — Bien, a-t-elle dit. On va s’occuper de cettepetite salope! Nous sommes tous rentrés dans le salon. Elle m’a passé un collier en cuir muni d’un anneau autour du cou, et des bracelets du même genre aux poignets et aux chevilles. C’est alors que j’ai vu des cordes munies de mousquetons, suspendues aux barreaux de la mezzanine. Liz m’a conduit jusqu’à ces cordes, elle m’a obligée à lever les bras, et elle a accroché les bracelets de mes poignets aux mousquetons. ...