L'aide d'une maman (1)
Datte: 03/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... instinctivement valdinguer dans la douche, trempant entièrement ma robe. — Maman, ça va ? Tu n’as rien ? — Non, non, ça va, geignais-je, en me relevant. Et toi ? Excuse-moi, j’ai glissé. — Ça va, plus de peur que de mal, mais fais attention s’il te plait ! — Bon. Je crois que je vais devoir m’y prendre autrement, dis-je en considérant ma robe blanche détrempée. (C’était une robe déjà relativement moulante qui n’avait pas besoin de ce genre de situation). Ça t’embête si je me mets en sous-vêtements ? jcrjvvps — Non c’est bon, pas de problème, me répondit-il en haussant les épaules. Je m’exécutai et attrapai le savon et le gant de toilette, avant de commencer à frotter. — Maman, pas le gant, je vais encore être tout irrité !!! Puis me gratter dans cette situation risque de ne pas être simple ! — Ah oui, c’est vrai. Bon. Je commençais à savonner son dos, méthodiquement, vigoureusement, mais pas sans apprécier les bienfaits que la musculation avait apporté à son corps. Cette situation me rappelait un peu les douches coquines avec mon mari, événement qui n’avait pas eu lieu depuis quelques années maintenant. Le père de Sébastien était toujours en déplacement, et son corps de jeune athlète s’était petit à petit affaissé, tout comme sa libido. Toujours est-il que savonner ce dos, ces épaules, n’avait rien d’un calvaire. Lorsque j’eus fini, je lui demandai de se tourner pour pouvoir laver son torse, mais il refusa. — Fais le de là où tu es, c’est très bien, je n’ai pas besoin de me ...
... mettre face à toi ! — Ce que tu peux être chochotte ! Très bien... Je fis donc le tour de son torse avec mes bras pour tenter de savonner l’avant de son corps. Évidemment, je ne pouvais pas faire le tour de son buste sans appuyer ma poitrine contre son dos. Il faut dire que la nature m’a généreusement servie sur ce plan, et que mon 90D pouvait parfois s’avérer problématique. Je n’aurais cependant jamais imaginé rencontrer CE problème un jour. Mon soutien gorge commençait à s’imprégner d’eau et de savon. Tant pis, je n’aurai qu’à en changer après ça. Le glissement de mes seins sur son dos commencèrent alors à éveiller des sensations laissées de côté il y a longtemps, et je tentais de chasser ces idées qui arrivait dans une situation dans laquelle elles n’avaient pas leur place. Il semblait gêné par la situation également, car il essayait de dégager son dos du contact, ce qui n’eut pas du tout l’effet escompté. Une fois de plus je basculai vers l’avant, entraînée par mes bras accrochés à son torse, et m’écrasai contre son dos. Je me reculai précipitamment, sans rien dire puis m’accroupis pour laver ses jambes. Face à moi, ses fesses galbées attiraient elles aussi mon œil et jouaient avec mes nerfs, avant que je ne remarque un nouveau détail : Entre ces deux cuisses, j’apercevais ses testicules, qui ne me surprirent pas par leur grande taille (il avait de qui tenir), mais par l’absence totale de poils. Mon fils se rasait donc. Je me souviens avoir longtemps demandé à Thierry de ...