Pauline - Années étudiantes (7)
Datte: 01/11/2017,
Catégories:
Erotique,
Chapitre 7 Je n’avais pas oublié mon rendez-vous avec André. Mais, je devais aussi rendre un devoir important pour l’école le lundi matin et nous avions été prévenu que le vendredi après-midi. J’ai travaillé ce vendredi soir. J’ai juste pris un peu de temps pour refaire ma couleur, fortement motivée par plusieurs personnes qui aiment mes cheveux bleus. Je suis tout de même allée chez André, mais avec mon ordinateur, et mes affaires de cours. De toute façon, un modèle ne bouge pas beaucoup. Il croquait mon visage, qui devenait de plus en plus ressemblant au fur et à mesure de ses dessins. Il rentrait de plus en plus dans les détails, c’était de plus en plus joli. • Vous ne dessinez que les visages ? • C’est souvent le plus compliqué à reproduire pour réussir à faire ressortir les émotions. Mais non, la dernière fois, je vous ai dessinée en entier. • D’ailleurs, vous ne m’avez pas montrée. • Il est un peu coquin. • J’étais un peu coquine. S’il vous plait, j’aimerai le voir. Oui, j’étais en entier, assise, cuisses écartées, une main sur mon vagin, une autre empoignant un sein. J’avais la tête un peu baissée avec les cheveux qui tombaient vers l’avant, et ma bouche entre-ouverte. J’adorais ce dessin, il me ressemblait tellement. • Savez-vous qu’il est presque midi ? Je vais préparer un petit repas. • Ho non, ne vous embêtez pas, je vais rentrer chez moi. Je vois que vous avez bien progressé, vous reprenez du doigter. • Hors de question. J’aime beaucoup votre présence. ...
... Voulez-vous un verre d’eau pendant que je prépare le repas ? Vous n’avez pas arrêté de travailler, vous devez avoir soif. • … Je veux bien, merci. Ca vous dérange si je me mets un peu plus à mon aise ? • Je vous en prie, faite comme chez vous. La raison pour laquelle je voulais rentrer chez moi était toute autre. Lorsque je travaille comme ça, concentrée, à ne pas compter les heures, j’ai souvent besoin d’une petite pause, d’un petit moment rien qu’à moi. Il voulait que je reste, je n’avais pas non plus envie de partir, j’étais bien ici… Et puis, après tout, avec tout ce que je lui avais déjà montré… Lorsqu’il revint, j’étais nue, assise sur ma chaise, derrière mon ordinateur. Il eut un temps d’arrêt et me dit • Voyons, lorsque vous m’avez dit que vous aimeriez vous mettre plus à l’aise, je ne m’attendais pas à ça. Rhabillez-vous, ça sera plus convenable. • J’aime être nue. Vraiment, je travaille mieux ainsi. Et puis, ce n’est pas la première fois que vous me voyez. • Non, enfin… Pas comme ça… • Je comprends que ça puisse vous étonner. Mais, si ça vous gêne vraiment, dites-le-moi, et je vous laisserai tranquille. Il ne dit rien, s’installa à côté de moi et repris son carnet et son crayon. Cette fois, il ne dessina pas mon visage, mais mon sein droit, rentrant dans les moindres détails, les moindres bosses, les moindres creux. J’ai dû faire une drôle de tête un moment car il me demanda « ça vous gêne que je dessine votre poitrine ? ». Non, ce n’était pas ça. J’avais besoin de faire ma ...