Tante Gisèle, maman, et les autres... (13) - Histoires de Sexe

Tante Gisèle, maman, et les autres... (13)

... tante m’a appris les arcanes du sexe, mais c’est bien la première fois qu’une femme se baise aussi rageusement sur ma queue. Et c’est ma mère ! Incroyable ! Sa chatte est vivante ! Elle bouffe mon sexe ! Non seulement en le faisant aller venir dans son vagin trempé mais aussi en bougeant ses reins en mouvement circulaires quand elle a ma bite bien au fond de son corps en folie. Plus elle me baise, plus sa chatte se contracte sur ma queue qu’elle regarde pénétrer et ressortit de son sexe en feu. Soudain, elle lève sa tête et me regarde dans les yeux. Les siens s’agrandissent et bien empalée sur ma queue, seul son sexe frémit sur le mien. — Oh mon Dieu! Dany…Dany… Quelques secondes après elle se mord ses lèvres. — OOOOooooh, Danyyyyyy, ça vient ! Ouiiiii… ça recommence ! Ooohhh mon fils ! Ça vient… Frénétiquement, elle se baise à nouveau sur ma bite à un rythme incroyable et tout à coup elle se fige sur moi et pousse un long gémissement. — OOOOohhhhhh…Ouiiiiiiii… je jouis ! Je jouiiiiiisssss Dany ! Je jouiiiissss ! Ouiiiiiii ! Encoooore ! Pendant une bonne dizaine de seconde, seule sa chatte exprime sa jouissance par de nombreuses contractions sur mon sexe puis le bas de son corps s’anime de nouveau et elle reprend ses va et vient tabous sur ma queue. — Mon dieu que c’est bon ! AAhhhh, Dany ! Baise ta maman ! Ouiii, encore, encore ! Quand son orgasme finit par s’estomper malgré ses mouvements à la recherche d’un plaisir prolongé, elle s’écroule sur le lit et tout son corps ...

... tremble. Je la prends dans mes bras et elle se met à sangloter. — Maman... Maman, ne pleure pas ! Je t’aime maman. Je t’aime tant. Elle renifle un peu et elle me dit. — Mais je pleure de joie, Dany ! De bonheur ! C’est l’émotion qui me submerge ! Je n’ai jamais jouis aussi fort et aussi longtemps avec ton père depuis au moins 15 ans ! Tu m’as donné la plus belle des jouissances en moins de 10 minutes ! Elle s’allonge sur son dos et écarte ses cuisses m’offrant la plus belle des vues. Sa chatte à moitié rasée, toute ouverte et dégoulinante de cyprine ! — Revient en moi mon bébé. Je veux encore sentir la belle queue de mon fils qui fait si bien jouir les femmes de mon âge. Je viens sur elle et elle me prend dans ses bras après avoir guidé ma bite dans sa chatte en chaleur. — Je t’aime mon fils. De tout mon cœur et de tout mon corps ! Oublie que je suis ta maman ou au contraire…pense que tu baises ta maman…je m’en fous complétement. Mais baise-moi encore. Non ! Fais l’amour à ta maman. Fais-moi encore jouir! Montre-moi tout tes talents et ce que j’ai manqué par bêtise et jalousie. Je ne la baise plus, je lui fais l’amour. Tout doucement pour profiter de ce corps théoriquement interdit à un membre de la famille et elle profite pleinement de ma queue qui fouille son trou d’amour en ondulant de hanches, ou en soulevant son cul, pour que je la pénètre le plus loin possible. Elle geint constamment et guide mes mouvements pour accroître son plaisir Moi je suis redevenu son petit garçon et ...