Un sacré numéro, notre nièce (2)
Datte: 04/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Dans le chaputre précédent : Après quelques ennuis d’ordre ménager, je découvrais ma nièce Nathalie allongée dans le lit avec mon épouse Mélanie... Pendant que j’observe la scène, je suis pris d’une érection qui devient douloureuse, tant mes pensées deviennent de plus en plus vagabondes. Et soudain, je remarque que Nathalie, dans son sommeil, a passé son bras autour du corps souple et svelte de mon épouse ce qui provoque immédiatement un changement de position de Mélanie qui se trouve désormais, sur le dos, dévoilant ses deux seins magnifiques, superbement proportionnés et qui, de fait, peuvent aisément se passer de soutien-gorge, ce qui, je ne vous le cacherai pas, la rend très désirable lorsqu’elle ne porte aucun sous-vêtement et que le tissu du t-shirt ou du chemisier laisse poindre les tétons fièrement dressés. Après quelques secondes, la main de Nathalie, machinalement sans doute, car elle dormait toujours, vient se poser sur le sein de Mélanie, ce qui provoque chez elle, une légère ondulation, que je connais bien car lorsque je lui prodigue quelques caresses, même les moins appuyées, tout son corps frémit ; elle est d’une telle sensibilité…, qui se vérifie immédiatement, même si je me refuse à voir un geste délibéré de Nathalie de vouloir poser sa main sur le sein de sa tante… Mais cette idée me traverse l’esprit et n’a pas pour conséquence de tempérer mon érection, bien au contraire. Je n’y tiens plus et je descends la fermeture de mon jeans et j’extirpe, tant bien ...
... que mal, mon sexe de son carcan et je le prends en main, comme si je voulais le rassurer et me faire pardonner son emprisonnement… Le contact de la peau de Nathalie sur celle de Mélanie, le souffle de cette dernière dans le cou lui procurent un plaisir évident puisque mon épouse a glissé sa main gauche dans son entrejambe alors que la droite caresse son sein resté libre. Et j’entends sa respiration se faire plus saccadée, puis un murmure : « François, François, c’est pas raisonnable…, j’ai envie de dormir, hum, hummm... ! François ! » Soudainement, Nathalie – réveillée par ces paroles – s’assied dans le lit, comme si elle avait vu le loup, visiblement surprise par la tournure des événements . Son soubresaut extirpe aussitôt Mélanie de son demi-sommeil et comprenant, l’une et l’autre, bien vite l’ambigüité bien involontaire de la situation, laissent exploser un rire aussi inattendu que violent. Profitant de la violence sonore de leur réveil, je me réajuste, replace, à contrecœur, ma verge dans son carcan et je feins, en pénétrant dans la chambre, le mari inquiet du pourquoi et du comment de ces rires si étranges. Les voir, l’une et l’autre, assises dans mon lit, les seins à l’air, le sourire aux lèvres et leur mine réjouie, n’a pas pour effet de calmer mon désir. Mon sexe, s’il pouvait s’exprimer, hurlerait son envie de liberté. Mais, je ne dois pas oublier que Nathalie est notre nièce… Assis sur le lit, à côté de Nathalie, j’écoute attentivement Mélanie me raconter ce qu’elle a ...