1. Désir Enchaîné (1)


    Datte: 05/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... internet à but « informatif » et « ludique ». Jules, ayant plus d’expérience, notamment grâce à l’art, lui explique afin de la rassurer : — Tu sais, ma petite, les seins, hors du contexte de la reproduction, ne sont pas un objet de désir. Tout comme les organes sexuels. Rien n’est excitant si le contexte ne s’y apprête pas. — Oui ça c’est ton avis... Mais les deux autres hommes, voulant la rassurer et se rassurer par la même occasion, valident les propos de Jules. howhkkjd — Bon... Ok ! Les mains tremblantes et les joues rougissantes, elle dégrafe son soutien-gorge et le fait tomber à terre de la main droite, la main gauche servant à cacher sa poitrine. Un tour passe, et toutes les demoiselles ont perdu leur pari, donc elles sont dorénavant seins nus. Le tour suivant, les demoiselles ont perdu pour de bon. Elles sont complètement nues. La demi-finale est entamée. Trois hommes, encore en caleçon, vont devoir le retirer, mais qui le retirera en dernier ? Jules lance les dés. Il perd, il retire donc son caleçon, et cache son sexe à l’aide d’un coussin. Benjamin joue, et il gagne. Pierre-Marie joue... Et il perd. Il est intimidé, il rougit, il pâlit, il ne sait quoi faire. Il ne s’est jamais dévêtu devant autrui. Mais il le fait, car c’est le jeu. Et il cache instantanément son sexe avec ses mains. Benjamin joue, et perd à son tour. Ils sont tous complètement nus, gênés, ne sachant où regarder, et n’osant plus se parler. Jules, étant pour le naturisme, comprend bien évidemment ...
    ... la gêne, mais désire plus que tout leur montrer que la nudité ne doit pas rimer avec gêne, ou sexualité. — Je comprends votre gêne, les enfants, si vous le souhaitez, je peux éteindre les lumières, et allumer quelques bougies, pour qu’on ne distingue que les formes. Ils acquiescent tous. Une fois la luminosité basse, ils reprirent une discussion normale. Peu à peu, les mains qui cachaient les poitrines de ces dames perdaient leurs chaînes. Libres à nouveau, elles pouvaient s’allumer une cigarette sans problème. Les hommes retirent leurs coussins ou leurs mains. Pendant une demi-heure, la gêne perdait de son pouvoir. Ils se parlaient normalement, les yeux dans les yeux, en oubliant leur nudité. Les dos courbés se redressaient. Les voix hésitantes se calmaient. Et surtout, leur nudité, ils s’en foutaient. Jules discutait avec Manon d’un tableau qu’il avait peint. Il se leva et alluma la lumière afin de retrouver parmi toutes ses affaires ledit tableau. Une fois la lumière allumée, personne n’avait réalisé que leur corps était à nouveau visible, de la courbe parfaite à la moindre imperfection qui était bien souvent la source de complexe. Complexe qui n’avait plus sa place maintenant. Même Pierre-Marie, qui voyait pour la première fois, en face de lui, une femme dénudée, n’est pas noyé d’excitation, ni même curieux du détail. Il ne voit pas sur le corps des demoiselles un objet de désir. Si on lui avait dit le matin qu’il verrait des femmes nues, il aurait certainement imaginé des ...