La soixantaine en folie
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
extracon,
volupté,
Oral
journal,
... chambre était au bout du couloir, à deux portes de celle de ma sexagénaire. Nous nous sommes tous souhaités une bonne nuit et sommes allés nous coucher. Je n’en pouvais plus de désir et je n’avais eu aucune occasion, je ne savais même pas si elle avait autant envie que moi de remettre ça. J’étais frustré …et bourré. À peine dans mon lit, je n’ai pu résister à l’envie de me masturber qui était bien plus forte que moi. Tant d’images me hantaient. Au milieu de la nuit je fus réveillé à plusieurs reprises par des bruits de pas dans le couloir. Je n’osais aller voir de peur de tomber sur le mari ou peut être bien de peur de tomber sur ma sexagénaire en rut… Quel courage ! J’ai très mal dormi cette nuit-là. Réveillé dès 5h30 par les oiseaux, je mourrais de soif du fait de mon abus d’alcool de la veille. Je suis allé dans la cuisine pour boire de l’eau, puis me suis habillé pour aller acheter des brioches en ville. Lorsque je suis revenu, elle était là, dans la cuisine, en train de lire le journal en robe de chambre, avec la petite nuisette en satin que j’avais aperçue la veille. Je voyais son décolleté généreux. Elle m’a demandé de ne rien dire et s’est levée. Elle a fait tomber sa robe de chambre et s’est approchée de moi. Elle m’a caressé l’entrejambe de manière très douce, puis en serrant de plus en plus. Je l’ai serré contre moi, je pouvais sentir ses seins contre mon torse, et je l’ai embrassée à pleine bouche. Nos langues se mêlaient à un rythme effréné, nous bavions ...
... tellement nous nous embrassions fort. Elle léchait mon visage, ma bouche, elle mordait mes lèvres, mon nez, elle serrait mon sexe dans sa main, elle essayait de le branler à travers mon pantalon en lin. Elle léchait mon cou, le mordait, elle me tirait les cheveux de rage. Elle caressait mon dos avec sa main. Je mordillais ses seins au travers de sa nuisette et cela la rendait folle. Je malaxais ses fesses tout en frottant mon sexe contre le sien. Je crois que j’aurais pu la pénétrer ainsi, sans enlever ni sa nuisette ni mon pantalon tant elle s’ouvrait à moi. Agenouillé devant elle j’ai plaqué mon visage contre sa chatte; elle a appuyé ma tête contre son sexe, tout en bougeant son bassin d’une manière impudique, la bouche grande ouverte. Tout en enlevant sa nuisette, j’enfonçai ma langue dans son sexe, je mordis son clito, je l’aspirai, je le suçai, j’enfonçai mon doigt dans sa chatte ; je la retournai, pour lui lécher les fesses, pour y entrer la pointe de ma langue coquine, pour lui lécher l’anus tout en caressant son clito avec mes doigts. Elle se mordait la main pour ne pas gémir, pour ne pas crier. Elle bougeait comme une folle. J’ai enlevé mon pantalon vite fait. Elle m’a branlé comme une folle, des deux mains, puis a dirigé mon sexe qui n’avait jamais été aussi beau, dans sa chatte humide à souhait. En la portant par les cuisses, son derrière reposant contre la table, en lui roulant des pelles bien baveuses, j’allais en elle, au plus profond d’elle, par des allers-retours ...