Papa et sa salope de fille (3)
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Mon père s’assit sur l’une des chaises du salon et me fit basculer sur lui de manière à ce que mes fesses se retrouvent positionnées sur ses genoux. Les coups se mirent alors à pleuvoir et je découvrai avec étonnement que la douleur, une nouvelle fois, me procurait du plaisir. Mes fesses me brûlaient, néanmoins une sensation agréable se propageait entre mes jambes. La position avait en plus un quelque chose de soumis et de dégradant qui frôlait la perversion. Bref, cette situation m’excitait au plus haut point. Evidemment, je ne laissai rien paraître et fut bientôt congédiée dans ma chambre. Je la rejoignis tête baissée pour faire illusion mais au fond j’avais juste envie de m’y enfermer pour me masturber à nouveau. Ce que je fis. Après cela, nous reprîmes notre train-train quotidien. Bientôt, la frustration se mit à me dévorer. Dans l’espoir de provoquer une réaction chez mon père, je pris quelques risques et me dévergondai un peu. J’en avais marre qu’il passe son temps dehors loin de moi, je voulais qu’il me remarque (et aussi qu’il me punisse et qu’il me baise, mais ça je ne me l’avouais pas encore). Un jour, je décidai de ne porter aucun soutien gorge sous mon T-shirt blanc. Ma poitrine ballotait donc sans retenue. Sans compter que mes tétons se voyaient un peu à travers. Je le portais avec une petite jupe moulante que j’avais relevée sur mes hanches bien plus que nécessaire. Je me sentais pute, mais d’une certaine manière, je me sentais bien. Au moins ainsi on ne ...
... pouvait pas m’ignorer, je sortais de mon insignifiance habituelle. Mon père et moi étions attendus chez des amis et contrairement à mes attentes, il ne me fit aucune remarque désobligeante. Je compris vite que c’était sa manière de me tester, de voir si j’irais jusqu’au bout. Sans doute ne me croyait-il pas capable de sortir ainsi vêtue. Pour mettre son plan à exécution, il se permit même quelques remarques un peu limites. « Quand on a de beaux seins, il faut les laisser libres, tu as bien raison, déclara-t-il ainsi en souriant. — Tu me rassures, répondis-je, j’avais peur d’être trop provocante. - Mais non pas du tout, je serai fier d’avoir une jolie fille à mes côtés. - Et ma jupe, ajoutai-je, comment la trouves-tu ? - Parfaite, elle met tes fesses en valeur. Sans parler de tes jambes ! - Eh bien, que de compliments ! - Je ne fais que dire la vérité. Au fait, on prend la moto, ajouta-t-il avec un sourire en coin. Je compris immédiatement son manège. Il pensait certainement me décourager de porter cette jupe, mais il n’allait pas être déçu. — Chouette répondis-je ! Son sourire flancha mais il ne fit pas machine arrière et je le suivis dans le garage. J’écartai ostensiblement les jambes pour monter derrière lui et il démarra. Quelques minutes plus tard, nous nous arrêtâmes à un feu rouge et lorsqu’il vit qu’un automobiliste me reluquait, je crus sérieusement qu’il allait s’énerver. Pourtant, il laissa paraître l’exact opposé, comme s’il souhaitait au contraire m’exhiber, voire même ...