La découverte - Histoires de Sexe

La découverte

Mon copain Marc habitait une belle maison spacieuse et tranquille un peu en dehors de la ville. Nous avions tous les deux dix-huit ans et vivions encore chez nos parents. Ce week-end Marc était seul et m’avait invité à venir chez lui en me promettant de me montrer quelques cassettes pornos appartenant à ses parents qu’il avait découvert. Nous avions déjà discuté maintes fois de sexe ensemble, échangeant nos fantasmes et même quelques revues grivoises : nous avions découvert notre passion commune pour les femmes mures et bien bustées ainsi que pour leurs lingeries fines et soyeuses et leurs tenues distinguées et sexy. Bien sûr, quelques professeurs femelles ou quelques mères de famille de notre connaissance entretenaient nos fantasmes d’adolescent et d’incessantes masturbations aussi bien nocturnes que diurnes. Je suis arrivé un peu plus tôt que prévu chez Marc. Il est venu m’ouvrir tout essoufflé en finissant de reboutonner son pantalon, le rouge aux joues et visiblement gêné. Je lui demandais si je ne l’avais pas interrompu dans une séance de branlette. Il me répondit qu’il venait juste de finir sa grosse commission et me demanda d’entrer. Il me dit d’aller dans le salon pour que l’on puisse commencer notre séance de film. J’étais assez excité car je n’avais jamais vu ce genre de film avant, n’ayant jamais eu le courage d’entrer dans un ciné porno (il y en avait beaucoup encore, à cette époque). Il me demanda de choisir parmi trois cassettes vidéo, puis me conseilla l’une ...

... d’elles qu’il avait déjà eu le plaisir de visionner : "Veuves en chaleur", tout un programme ! Il me promit qu’en matière de belles femmes en vêtements et lingerie sexy, je n’allai pas être déçu. La cassette insérée dans le magnétoscope, le téléviseur allumé, et nous deux bien vautrés dans le canapé en cuir, la séance commençait : Le scénario était, bien sûr, des plus simples : une belle veuve toute en noir dans ses vêtements de deuil se laissait consoler par un ami de la famille, ami qui rapidement avait posé sa main sur le chemisier et les seins de la dame, soulevée sa voilette et embrassée la bouche pulpeuse et maquillée de la pauvre. La suite était dans la logique du genre : Madame se faisait tendrement effeuiller, révélant ses dessous noirs et raffinés et ses parties intimes. Monsieur se déshabilla ensuite et présenta sa tige à Madame Veuve qui lui gratifia d’une pipe de première pendant qu’elle se faisait tripoter le buste, les seins débordant des bonnets du soutien-gorge de satin. Toutes ces cochonneries nous avaient bien évidemment largement excité, ce qui pouvait se deviner à la vue des bosses que faisaient le devant de nos pantalons. Nous avions d’ailleurs commencé à frotter nos verges à travers nos pantalons. En voyant cela, je lui demanda s’il ne serait pas plus pratique que nous nous mettions à l’aise. Il me répondit que je ne devais pas me gêner. Je déboutonnai donc mon jean, le baissa et fis de même avec mon caleçon. J’étais déjà en pleine érection et je vis son ...