Echanges de mails entre hommes (4)
Datte: 06/04/2021,
Catégories:
Gay
Suite de nos échanges; c’est à mon tour d’écrire. Moi: Salope, Tu veux du gloryhole, et tu vas être servie. Je te laisse repartir chez toi et te dis que je t’appellerais quand j’aurais besoin de toi. Au bout de trois jours je te donne un nouveau rendez-vous chez moi, toujours à 20h30. Tu enfiles tes dessous de femme, te rappliques, et me fais une pipe éclair. Je décharge rapidement dans ta bouche, puis on s’en va pour le sex-shop. Le patron n’est pas la, c’est sa femme qui tient le boutique. Je la connais bien elle aussi, on s’embrasse et elle me demande à son tour si on reste après la fermeture. Je réponds par l’affirmative et elle nous laisse entrer gratuitement; tu as compris que tu devras payer de ta personne. On entre et je t’emmène direct au fonds de la grande pièce; par chance c’est libre. Il y a un lit, mais surtout un gloryhole qui donne sur la salle. Ce n’est pas un simple rond comme souvent, mais un large et grand rectangle qui permet aux grands comme aux petits d’enfiler leur manche, et aussi à celui qui pompe de peloter les couilles de son bienfaiteur en même temps qu’il suce. Tu t’installes à quatre pattes sur le lit, la bouche au ras de l’ouverture. Je te mets une écharpe qui traverse le trou. Je suis de l’autre côté, côté grande salle, et je t’éclaire avec une torche que j’ai prise pour la circonstance. Les hommes sont alertés par cette lueur, et l’un d’eux se rapplique sans tarder. Il passe devant moi, et je lui dis que tu es ma pute, une vide-couilles, ...
... une sac-à-foutre, une sac-à-pisse, et qu’il peut t’utiliser comme il veut. Il me remercie et se rapproche de toi. Il baisse son froc et se plaque contre la cloison pour bénéficier de tes faveurs. Il gémit, et je sais que tu le suces. Je vais dans la salle, dans les différentes pièces, et informe tous les clients de ta présence et de ton appétit vorace pour des bites bien juteuses. Ils sont très vite plusieurs à attendre leur tour et je dois leur donner des consignes: ne pas te monopoliser, pas plus de cinq minutes, pour laisser sa chance à tout le monde. Ils sont nombreux à se succéder, tous différents; de longues queues, des courtes, des grosses, des fines, des propres, des sales, des qui sentent bon, des qui puent; tu les prends toutes sans te poser de question. Certain jutent rapidement, d’autres se retirent sans avoir joui et refont la queue pour un deuxième passage. L’un d’eux remarque enfin ton écharpe et l’utilisation qu’il peut en faire. Il tire sur les deux pans et ta jolie petite gueule vient s’encastrer dans le trou. Il te plante son chibre tendu à mort, et te défonce sauvagement, en gorge profonde. Il est super excité et décharge bruyamment, que tout le monde le sache. Il se retire: — Ouvre ta bouche salope, j’ai envie de pisser. Il relâche ton écharpe, et tu restes plaqué au mur, la gueule ouverte, alors que rien ne t’y oblige. Il pisse dans ta bouche, par à-coups, de petits jets, pour que tu avales tout. Tu engloutis tout comme une boit sans soif. Les hommes se ...