La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 662)
Datte: 07/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°661) - Monsieur le Marquis prend possession de soumise Estelle - soumis Endymion MDE venait de comprendre l’importance qu’avait Madame Anna pour le Maître, mais aussi de leurs émotions respectives de se retrouver. Pendant très longtemps encore, ils discutèrent et se rappelèrent de nombreux souvenirs de leur passé commun concernant toute l’enfance du Maître, avec des magnifiques anecdotes d’un enfant à la fois heureux et espiègle. Une des plus insolites que retenue le soumis MDE était celle où le Maitre âgé de 12 ans et alors qu’il était enfant de cœur à l’église du village avait, avec ses copains et après le catéchisme, déboulonné et emporté la statue de Saint-Joseph qui trônait contre un pilier de l’allée centrale. Scandale des bigotes du village ! Hélas, il ne pouvait pas remettre en place la statue puisque par bêtise de gaminerie, il avait jeté la dite statue dans la boutasse (mare profonde) de la cure. Son père, le Marquis de l’époque étant un mécène fort généreux avait financé et donc fait remplacer la statue. Et on n’entendit plus jamais parler de la statue disparue et donc immergée. Mais deux ans plus tard, lors d’une canicule sécheresse, la boutasse se trouva à sec et une bigote qui s’occupait du jardin de la cure, vit un beau matin apparaitre un bras levé (celui de la statue) qui dépassait de la vase. Madame Anna présente ce jour-là dans le jardin de la cure vit la bigote s’agenouiller et entendit ...
... celle-ci, les mains jointes dire tout haut en priant : « Miracle, Saint-Joseph est réapparu !’’… L’esclave MDE était touché de la confiance que lui accordait Monsieur le Marquis, il assistait à ces conversations intimes et insolites, certes en se faisant discret, couché sur le sol, nu aux pieds du Noble. De temps à autre Madame Anna, demandait au soumis MDE de venir près d’elle, près de son chariot, de se tenir à quatre pattes. Alors elle le caressait longuement, comme elle aurait caressé un animal, parfois encore, elle lui tendait du bout des doigts, un biscuit sec. Elle s’amusait de temps à autre, avec lui : - Fais le beau, tire bien ta petite langue de toutou et viens chercher ce gâteau. Malgré son âge, Madame Anna était joueuse et n’avait rien perdu de sa douce vivacité perverse…. Ses mains régulièrement se perdaient entre les fesses du chien soumis, lui titillant ses couilles, jouant avec sa nouille, lui se laissait caresser en s’offrant généreusement... Mais déjà le temps était venu de partir, de quitter cette brave femme. Monsieur le Marquis l’embrassa tendrement une dernière fois, en la serrant fort longuement dans ses bras. Anna pleurait, de grosses larmes roulaient sur ses joues. Elle était triste de voir partir son Edouard qu’elle avait tant chéri, elle qui n’avait jamais pu avoir d’enfants. Le reverrait-elle un jour ? - Porte-toi bien, mon Edouard, Fais attention à toi, prends soin de toi et continue de bien dresser ce petit cabot… ! Ce furent ses derniers mots, ...