A l'ombre des pierres (1)
Datte: 07/04/2021,
Catégories:
Gay
... donner à l’un des vieux messieurs noirs de soleil qui paressaient au bord de l’eau. Je revins le lendemain et pour augmenter mes chances je m’étendis nu sur ma serviette. Une silhouette inconnu se déshabillait un peu plus loin. Je mis mes lunettes de soleil et faisant semblant de dormir l’observait à la dérobée. Il était pas mal. Pas très grand, peut être un mètre soixante dix, bien batit, mince, avec une musculature de grimpeur. Il enleva lui aussi son maillot, je regardais son membre, d’une taille honnête, sans plus. Il avait de jolies fesses, les cheveux courts, bruns roux. Oui, vraiment pas mal du tout. J’attendis une demie heure, puis le vis aller se baigner. Vraiment pas mal. Je me préparais à me jeter à l’eau pour dire bonjour, mais non, je n’osais pas, trop tard il revint à sa serviette. Tant pis, j’allais me baigner quand même et prenais soin de dériver pour me trouver dans l’axe de son emplacement. De là il pouvait me voir sortir de l’eau, détailler mon corps. Je sortis et marchais droit vers lui puis obliquais à droite à dix mètres de lui et regagnais ma serviette. Dix minutes plus tard il fit la même chose en sens inverse. C’était clair. J’attendis cinq minutes, entrais dans l’eau, dérivais jusqu’à me trouver dans l’axe de sa serviette. Il se leva et marcha droit vers moi. Je fis comme si de rien n’était et me tournais légèrement. Mon sexe gonflait. Il entra dans l’eau, détournant la tête, nagea quelques brasses, j’entamais un dos crawlé nonchalant et soudain (ô ...
... quel hasard) touchait son épaule de la main. Il se tourna, me sourit en posant une main sur ma poitrine. Sous l’eau ma main trouva sa hanche. C’était si simple, et puis il était beau, la quarantaine, des yeux noisette, le regard doux, une barbe de trois jours et des lèvres minces. je glissais jusqu’à son sexe durci, me plaquais contre sa poitrine et l’embrassait, voila, tout simplement. Qu’est ce qu’on est bête quand on à dix sept ans. J’en avais vingt huit et il m’avait fallu tout ce temps alors que cette plage était à moins d’un kilomètre de chez moi. Il me rendit mon baiser, caressa mes fesses, glissa un doigt le long de ma raie. Je palpais les muscles de ses bars secs, branlais doucement sa belle bite d’une taille maintenant très intéressante. Il me montra le trou dans le mur d’un signe de tête, je dis oui et nous sortîmes de l’eau en nous tenant la main. Une fois sur le sable il la lâcha et nous marchâmes cote à cote comme deux promeneurs ordinaire, à ceci prés que nos sexes se dressaient entre nos cuisses. Le vent sur ma peau couverte d’eau salé, le soleil sur nos épaules, c’était délicieux. Nous fîmes un détour par sa serviette où il prit un petit sac, contenant j’imagine des préservatifs et du gel. Quelques têtes se tournèrent pour regarder les deux plus jeunes de la plage (a mon avis ce jour la ) se diriger vers la chambre des plaisirs. Un homme se redressa sur ses coudes pour mieux voir et caressa nonchalamment son entrejambe mais c’est tout. Aucun ne se leva pour ...