1. L'ultime fantasme


    Datte: 07/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Tôt ce matin, les gardiennes ont rasé tout mon corps de la tête aux pied, et jusqu'aux sourcils, puis m'ont tondu le crâne comme on le faisait aux pires des traîtres lors des plus sombres heures de l'histoire de l'humanité. Vêtu d'un simple pagne, je suis emmené sur la place du village où, malgré l'heure encore matinale, la foule est déjà compacte. Une lourde croix en bois gît au sol mais elle semble peu haute, juste à peine plus que ma taille. On m'y attache par les poignets, bras bien écartés, mais on laisse mes jambes et chevilles libres de toutes entraves. Laisser au condamné le loisir de pouvoir gigoter est tellement plus excitant. Je ressens maintenant cette croix être lentement redressée et je découvre ainsi petit à petit toute cette populace qui me dévisage et se gausse de mon exhibition et de mon humiliation. Mes pieds pendent dans le vide à seulement quelques centimètres du sol de façon à ce que tout mon corps soit facilement accessible et mon buste est tendu sous l'effet de mon propre poids. Je remarque avec effroi plusieurs visages connus dans l'assistance venue se délecter de mon supplice, d'anciens amis, des voisins, des collègues ainsi que de nombreuses personnes qui me détestent et sont trop heureuses de pouvoir contempler ma déchéance. Des jeunes, de plus âgés, de très nombreuses femmes et un fort groupe d'hommes également. Des rires et des cris commencent à fuser dans ce public dont les yeux me dévorent, et qui est si près qu'il me semble presque sentir ...
    ... son souffle sur ma peau nue. - À poil, foutez-le à poil, commence à scander la populace avec insistance et avec de plus en plus de furie. Une des gardiennes saisit le haut du pagne qui masque encore mon intimité à la voracité voyeuriste du public. - il va supplier lui-même qu'on le mette entièrement à nu ce chien, dit-elle. Elle saisit mes deux pieds et les souleva derrière la croix et une autre gardienne commença à en frapper violemment la plante à l'aide d'une canne en bambou. Je pousse des hurlements de porc qu'on égorge sous chacun des coups. - Demandes-le, vermisseau, demandes-le toi-même qu'on t'arrache ce dernier lambeau de tissu qui cache encore ton sexe afin que s'envole avec lui ton ultime parcelle d'humanité. Je ne ferai cesser la bastonnade que lorsque tu l'auras hurlé, haut et fort, que tu mérites d'être entièrement nu. Et, entre deux intenses cris de douleur, pour mettre un terme à cette fulgurante douleur je m'exécute et tout en sanglotant, je déclare à haute et distincte voix:- Foutez-moi à poil, mettez-moi tout nu, enlevez-le moi! Alors après avoir relâché mes pieds meurtris, la gardienne d'un geste sec arrache ce pagne, et dévoile mon intégrale nudité à la foule hilare. La légère brise qui lèche tout mon corps me fait prendre pleinement conscience que chaque parcelle de mon corps est désormais offerte à la vue de tous. Les gardiennes s'écartent alors quelque peu et invitent les gens à s'approcher, à défiler près de moi pour me toucher et m'humilier. Je suis ...
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