1. Ma tentation incestueuse (5)


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Une fois le repas terminé et que nos parents repartis travailler, la vaisselle fut rapidement faite par Jeff. Moi, je suis sortie voir des amis que je n’avais pas rencontrés depuis longtemps, tandis que lui restait à la maison afin de se reposer un peu et vaquer à ses occupations. Lorsque je revins à la demeure familliale, un peu avant dix-huit heures, je découvris mon frère qui dormait sur son lit comme un bienheureux. Je n’ai pas pu m’empêcher de le regarder avec amour et tendresse. Je pensai tout à coup à quelque chose d’excitant : s’il était comme tous les mecs qui se respectent, il devait forcémenr aimer se faire reveiller avec douceur ; et quel est le meilleur réveil qu’une femme puisse offrir à un homme ? Une bonne pipe, bien sûr ! Ni une, ni deux, je me faufilai dans la chambre en fermant doucement la porte afin de ne pas gâcher ma surprise. Je m’assis légèrement sur le bord du lit, défis sa braguette avec douceur, sortis son membre appétissant de sa prison et me penchai pour lui prodiguer la meilleure des caresses buccales. De ma langue, je massai délicatement toute la longueur son membre encore mou, décalottai son gland et l’embrassai, l’aimant de tout mon coeur et profitant de son faible état d’excitation pour le prendre entièrement dans ma bouche. Mes caresses commencèrent à faire leur petit effet car je le sentis prendre du volume et s’allonger, ce qui m’invita à continuer sur ma lancée. Je me repaissais de sa queue, savourais chaque parcelle de sa peau, et ...
    ... petit à petit elle se mit au garde-à-vous, pour ma plus grande joie. Je l’entendais grogner, gémir ; il se réveillait enfin,. J’espérais sincèrement pouvoir finir ce que j’avais commencé avant que nos parents ne rentrent. — Hmmm... Sophie, mon ange, c’est toi ? fit-il, sûrement encore dans un demi-sommeil. — Raté ! Tu as droit à un deuxième essai ; mais si jamais tu ne trouves pas, je te mords ! lui dis-je pour plaisanter, sachant pertinemment que je ne le ferais pas. — Ah... C’est toi, Cécile ? — Gagné ! dis-je en lui suçant le gland. — Ouah, quel réveil merveilleux ! J’adore ça, continue, me dit-il en s’étirant pour ensuite poser sa main sur ma nuque. — Et ça, tu aimes ? lui demandai-je en le regardant dans les yeux tout en faisant claquer ma langue sur l’endroit hypersensible du gland. — Oh, oui, j’aime... répondit-il en fermant les yeux. Tu me fais les meilleures pipes du monde, t’es une vraie reine. — Et moi, tu m’aimes ? lui demandai-je, toujours sur le ton de la complicité. — Bien sûr que je t’aime, ma puce. Je commençai à le pomper avec une douceur infinie, mais j’étais tiraillée entre le fait qu’il fallait finir rapidement et le faire durer au maximum. Cette situation m’excitait tellement que je commençai à passer ma main sous mon jean – que je venais d’ouvrir – pour me donner du plaisir en même temps que je lui en donnais. Mais on entendit soudain la porte principale de la maison se refermer, ce qui nous fit sursauter de concert. À mon avis, le destin avait choisi qu’on ...
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