Un essayage particulier
Datte: 08/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
profélève,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
nopéné,
confession,
occasion,
extraconj,
lieuxpubl,
... mon allusion. Elle rigole, pose sa main quelques secondes sur la mienne et me sourit : — C’est gentil à toi de dire ça.— Ne me dites pas que vous ne vous doutez pas que vous produisez un certain effet sur vos élèves.— C’est sûr qu’il y a quelques années je ne dis pas, mais bon maintenant…— Vous rigolez. Moi je suis certain que la plupart des garçons de la classe vous trouvent belle.— Arrête, tu vas me gêner…— Et je pense même qu’il y en a qui profitent que vous écriviez au tableau pour vous prendre en photo avec leurs téléphones portables.— J’avoue que je n’y avais pas pensé… Enfin si ça les fait bander de prendre le cul de leur prof en photo… Elle se tait à ces mots, sentant que la conversation dérape. Nous restons quelques secondes silencieux puis j’enchaîne sur des banalités pour effacer sa gène. Nous discutons encore un petit quart d’heure quand elle regarde sa montre. Je me doute avec regret de ce qu’elle va dire : — Oh il est déjà cinq heures ! Ça a passé vite ! Je suis désolée mais je vais devoir y aller, j’ai une course à faire.— Je me doute bien…— Je dois aller acheter une robe pour un mariage ce week-end.— Prenez-la légère, avec la chaleur qu’ils annoncent.— J’hésite entre deux modèles et je n’arrive pas à me décider. Alors qu’elle se lève et se prépare à payer, je la devance en laissant la monnaie sur la table. Elle me sourit et me remercie chaleureusement avec un grand sourire. Je fonds littéralement… — Mais dis-moi, tu fais quelque chose, là ?— Euh non, rien de ...
... spécial.— Tu veux venir avec moi ? Comme ça tu m’aideras à choisir.— D’accord, on est parti ! Je me lève et suis ma prof. Nous marchons quelques minutes tout en discutant et arrivons devant le magasin. Je lui ouvre galamment la porte et elle me remercie avec un grand sourire (la galanterie c’est bien, mais j’en profite quand même au passage pour mater son cul…). Rapidement, elle prend les deux robes dans les rayons et nous nous dirigeons dans la cabine d’essayage. Elle rentre dedans et verrouille la porte. Je reste planté devant à attendre qu’elle se change. J’essaie d’imaginer les dessous qu’elle porte et mon esprit se laisse aller, rêvassant à des strings, des soutiens-gorge en dentelle, etc. Mes pensées sont interrompues par le bruit de la porte de la cabine qui se déverrouille. Marie-Ève entrouvre la porte et me fait découvrir sa tenue : elle est vêtue d’une robe mauve assez courte, avec de fines bretelles et un décolleté traditionnel. Elle est assez moulante sur la poitrine et le haut du corps mais va en s’évasant sur les hanches et les cuisses. Je remarque qu’elle ne porte aucun soutien-gorge. — Elle te plaît ?— Oui, c’est joli. Elle tourne sur elle-même ce qui fait voler le bas de la robe qui découvre un peu plus ses cuisses. Bien entendu, je ne rate pas une miette du spectacle qu’elle m’offre. — Tu as vu ? Je peux essayer la suivante ?— Oui, allez-y. Alors qu’elle vient de fermer la porte, elle la rouvre et me tend l’autre robe, une robe noire. — Je me suis trompée, tu ...