Vive le volleyball...
Datte: 02/11/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
gymnastiqu,
train,
douche,
fsoumise,
odeurs,
pied,
Oral
préservati,
pénétratio,
uro,
... Donne-moi ta culotte ! J’avais dit cela d’un ton qui ne souffrait pas de discussion. Léa leva les jambes, glissa ses mains sous sa longue jupe, et je vis bientôt émerger une culotte de coton jaune pâle. Je pris le tissu déjà humide à l’entrejambe et le reniflai devant Léa. — Tu mouilles, hummm ! Tu voudrais ma bite dans ton trou, non ?— Heu non ! Je n’ai pas de préservatif. Et je ne prends pas la pilule ! Léa paniquait… — Je vais te… la mettre dans ma bouche. Bingo ! Léa se pencha et commença à me sucer. Maladroitement comme la dernière fois, mais cela m’excitait encore plus… — Caresse-moi les testicules ! Ouiiiiii, comme ça ! J’avais mis les chaussettes odorantes sous mon nez, et je n’allais pas tarder à cracher mon foutre. Léa s’arrêta, puis me dit : — Tu préviens quand ça sort ? Je… veux pas… avaler… Je ne répondis pas mais ma main commença à explorer le dessous du tee-shirt de Léa. Je caressai ses mignons tétons, qui se durcissaient de plus en plus… Je décidai d’un marché : — Si tu avales, la prochaine fois, c’est moi qui te lèche la choupinette et qui te fais jouir ! Tu vas vraiment aimer… Mais tu dois tout ramasser dans la bouche maintenant, toute ma sauce… Alors ? Léa me regarda tout en me suçant puis baissa les yeux sans rien me dire. Je pris son silence pour un oui. — Caresse-moi les couilles, retrousse ta jupe… Léa retroussa sa jupe, qu’elle cala sous son bras, me révélant ses fesses blanches et son sexe toujours pas rasé… La position était très excitante, et je ...
... me laissai aller à ma jouissance, non sans prévenir ma petite cochonne… — Je viens Léa, tu le gardes en bouche ? Elle me regarda et fit « oui » avec ses yeux. Elle me caressait les boules avec plus d’entrain et je pus enfin jouir dans sa bouche des flots de sperme épais ! — Ahhhhhhh, c’est bonnn Léaaa ! Super ! Léa me suça encore un moment, puis se retira en gardant la bouche fermée. À sa grimace, je compris qu’elle avait gardé ma semence sur sa langue, et qu’elle ne savait pas quoi en faire… — Ou tu avales comme un sirop, ou tu craches ! Léa hésita, puis eut le réflexe d’avaler. Elle ne dit rien, mais je la vis un peu contrariée… Elle ramassa sa culotte, qu’elle mit dans son sac, puis elle remit ses chaussettes et ses Puma. Elle s’arrangea un peu, prit un chewing-gum dans son sac, et m’en proposa un. Comme elle devait descendre du train, elle me dit : — Euh… À samedi, seize heures.— Ça marche. Ah, Léa ? Elle se retourna. — Prends des capotes cette fois ! Elle sortit et je rangeai mon sexe qui perdait de son ampleur ! Vivement samedi ! * * * * * * * * * * Ce samedi, je pris place dans les quelques gradins de la salle de sport où devait jouer Léa. Nous étions tout au plus une demi-douzaine de spectateurs, la plupart devant être les copains ou les frères des joueuses. J’avais un plan pour me retrouver seul avec Léa. Je connaissais cette salle et je savais par où sortiraient les joueuses une fois la douche prise. Il suffirait d’attendre que toutes les filles sortent, puis de ...