L'amant
Datte: 08/04/2021,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
hplusag,
alliance,
grossexe,
Masturbation
Oral
hdanus,
hsodo,
... femmes, non ?— Ah. Elle t’en a parlé ? Ce n’est pas facile pour elle d’aimer les deux. Enfin, dans sa tête.— Non, elle ne m’en a pas ouvertement parlé. Simple déduction. Je n’y vois rien de mal en tout cas. Là, j’aurais tellement envie de me confier à lui. J’aimerais pouvoir lui expliquer que de temps en temps, j’ai également ce besoin d’aller vers les hommes. Non pas pour les aimer comme je le fais avec une femme, pas de bisous, pas de torrides baisers à en perdre haleine, bien loin de moi ce désir. Simplement la nécessité de voir leur sexe, de sentir sa chaleur dans ma main, pour le plaisir de le faire bander. Lorsqu’il est comme je les aime – plutôt dans la moyenne supérieure – j’adore le prendre en bouche et le sucer jusqu’à ce qu’il déverse avec fougue sa chaude semence. Et lui me fait très envie, il se dégage de lui quelque chose de sexuel. — T’es un mec cool, toi. J’t’aime bien. Tchin ! dit-il en me tendant son verre.— Moi aussi, j’taime bien ! Tchin ! Tu sais que je joue un peu à la guitare ? Pas à ton niveau, certes.— Alors il faudra que l’on se fasse un bœuf un soir ! Mes désirs pencheraient plus vers le besoin d’un étalon que d’un bœuf… J’apprends qu’il est prof de musique, qu’il ne vit que pour elle, un vrai passionné. On termine à peu près là notre conversation, même si « aller plus loin » me tord le ventre autant que l’esprit. Mes yeux se perdent volontiers sur la bosse de son pantalon, imaginant ce qu’il doit se cacher dedans. Si je ne me retenais pas, je me ...
... mettrais à genoux pour lentement le découvrir et… La porte de service fermée, je le raccompagne à sa voiture. Il me propose d’aller faire un tour en boîte pour finir la soirée, mais je ne suis pas d’humeur à voir du monde. Je lui souhaite une bonne nuit après avoir échangé nos numéros de téléphone, monte dans ma voiture et disparais dans la nuit. Un moment, j’hésite à faire un détour par le parc pour trouver un mec à me mettre sous la dent, mais rentre finalement chez moi. Quelques jours plus tard, Patrick m’invite à prendre ma guitare avant de le rejoindre chez lui : pizza, bières et musique. Plusieurs bières et une pizza plus tard, les classiques d’Eagles, Pink Floyd, Led Zep et autres Clapton devenaient plus accessibles à l’autodidacte que je suis. À la douce lumière de son salon, j’admire son doigté, la rapidité de ses gestes. La facilité avec laquelle il enchaîne les riffs et part en solo me laisse rêveur. — Tu as une bonne oreille ! s’exclame-t-il. Allez, on s’en grille une et on reprend ?— Volontiers. Si tu as du bon café au passage, je suis preneur.— C’est parti !— Pat, comment se fait-il que tu sois toujours célibataire ?— Disons que j’ai du mal à me fixer. J’aime bien être libre. J’ai vécu quelques années avec une femme. On a même failli se marier.— Et pourquoi ça ne s’est pas fait ?— Vie de bohème ! Pas facile de vivre de sa passion. Soit tu es avec une fille qui vit à ton rythme, soit tu n’es jamais en phase. Et puis on a tellement de tentations… Je commence à peine ...