Don Booth et le trésor de guerre
Datte: 08/04/2021,
Catégories:
fhh,
fhhh,
gros(ses),
bizarre,
sales,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
uro,
humour,
policier,
aventure,
... chers lecteurs, que je ne désire pas m’attarder sur mon état ; le siège de la voiture est sûrement encore humide à l’heure où j’écris ces lignes. Seule Karen, installée à l’arrière de la voiture, semblait fraîche comme une rose, et je me pris l’espace d’un instant à penser qu’elle était peut-être une extra-terrestre venue de la planète Krypton. Enfin Pet gara la voiture à la sortie d’une petite ville au pied des montagnes. — Voilà, c’est ici que se termine la piste de Duff et de ses hommes. D’après les archives que j’ai pu consulter, ils se sont arrêtés dans cette ville le 3 octobre 1864 et ont ensuite pris la direction des montagnes afin de rejoindre Washington à travers la Virginie, mais personne ne les a jamais vus arriver en Virginie. C’est là-haut que nous trouverons la réponse. Et il indiqua de manière théâtrale la ligne de crête qui nous dominait, telle une sorte de massue géante oscillant au-dessus de nos têtes dans les vapeurs d’une chaleur de fournaise. Heureusement que j’avais pris soin de m’équiper des chaussures de montagne que j’avais acquises lors d’une vente de surplus de l’armée pakistanaise l’année dernière. La route que nous suivions se transforma rapidement en un chemin de terre qui lui-même se transforma à son tour en un sentier à peine praticable pour une chèvre dopée à l’EPO. La végétation était dense, les moustiques nous harcelaient comme des milliers de flèches tirées de sarbacanes invisibles et la chaleur torride de juillet nous donnait des ...
... allures de naufragés post-apocalyptiques. Si Karen semblait tout droit sortie d’un frigo et suivait sans problème le rythme, je pataugeais dans mes vêtements tout en ayant l’impression d’avoir déjà perdu cinq kilos depuis que j’avais quitté la voiture à peine deux heures plus tôt. Malgré les auréoles sur son t-shirt, Pet semblait joyeux comme un gosse le soir de Noël. — Ça me rappelle quand j’explorais la Papouasie, dit Pet. J’avais rencontré la tribu des Toumoudlakeu. Ils vivaient au fond de la jungle, totalement à l’écart de la civilisation. Je me souviens qu’ils avaient des pratiques assez étranges.— Ils mangeaient des êtres humains ?— Non, je ne parlais pas de leur régime alimentaire mais plutôt de leurs pratiques sexuelles. Chez eux, c’étaient les femmes qui avaient le pouvoir, les hommes étaient en quelque sorte des esclaves. Et leur chef, la Reine Chatenmouss, était capable d’enfoncer son propre pied entièrement dans son vagin, c’était très impressionnant ! Dommage que mon appareil-photo ait été avalé par un ornithorynque géant quelques jours plus tôt, je n’ai pas pu immortaliser ce moment…— Un endroit où les femmes dominent ? intervint Karen. Cela devait être une contrée extrêmement civilisée !— Peu importe leur degré de civilisation, dis-je. La seule chose qui m’importe, c’est de savoir si on arrive bientôt !— Je pense que ces hommes pourront nous le dire, me répondit Pet en désignant un groupe se tenant devant ce qui ressemblait plus à une cabane au fond de la jungle ...