Katherine et Kévin 2
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... coups de reins. Tout cela, le fit se tenir tranquille, pour l'instant. Je luis lançai : « tu vois ? si tu te comportes pas bien, je te punis… mon petit esclave sexuel. » Comme il fut incapable de réagir à cette provocation, je pus continuer tranquillement ma baise. J'allais à un rythme très élevé, profitant à fond de son énorme queue, palpant sous toutes les coutures son corps de rêve, me délectant de le voir, en sueur et étendu sur mon lit entrain de gémir sous mes assauts. Je savourais l'effet que me faisait son énorme queue tandis que je la malmenais encore et encore. Lorsque je m'essoufflais, et que le plaisir devenait trop intense, je ralentissais le rythme, et toisais Kévin d'un air supérieur. Je lui saisissais le menton et l'obligeais à me regarder dans les yeux, lui passais mes ongles sur tout le corps, pour le faire frissonner, l'obligeai à me sucer les doigts. Je prenais totalement possession de lui, il m'appartenait, devenait ma chose, mon jouet. Une ou deux fois, il tenta de reprendre le dessus. Mais j'étais trop sauvage, trop indomptable pour être matée. A chaque fois qu'il tenta, il prit une sévère correction, gifles, griffures, morsures étaient au programme. Après, j'accélérais comme une folle, lui faisant à nouveau perdre la tête, et comprendre qu'il ne pouvait rien faire. Au bout d'un moment, il était tellement sonné, et mâté, que je pus changer de position sans craindre de rébellion de sa part. Je me retournai, et me remis à le chevaucher, mais cette fois ...
... ci en lui tournant le dos. Je me déhanchai de gauche à droite comme une danseuse orientale, secouant mon, postérieur à fond, lui offrant un spectacle incomparable. Le plaisir était toujours aussi intense, d'autant que je retrouvai bien vite un rythme soutenu. De plus, j'adorais cette position, qui procurait le même plaisir psychologique que la levrette : celui de baiser sans voir son partenaire. Sauf que contrairement à la levrette, c'est moi qui menais la danse. De temps à autre, je me retournai pour voir ce que faisait Kévin, et j'étais rassurée : il gémissait, se tordait de plaisir, bref était incapable de faire quoique ce soit. Je sentais le plaisir monter et monter encore. Le grand final approchait. Je voulais voir son visage quand il jouirait pour la dernière fois sous mes assauts. Je voulais voir passer la lueur de défaite dans ses yeux, quand il réaliserait qu'il venait de finir cette journée de baise sous moi, à la merci de mes coups de reins dévastateurs. Je me retournai donc, et le défiant du regard, j'entamai le sprint final. Je me mis à bondir sur sa queue de haut en bas, poussant des gémissements à chaque fois, auxquels répondaient ceux de Kévin. Le plaisir montait et montait, ma vue se brouillait, mon corps s'embrasait plus que jamais, mon souffle se raccourcissait. L'orgasme était imminent. Je voulais avoir une victoire totale, aussi je criais « dis moi que je suis ta reine, ta maîtresse et que tu es mon soumis, dis le ! dis le ! dis le » à chaque « dis le ! », ...