Katherine et Kévin 2 - Histoires de Sexe

Katherine et Kévin 2

... pour moi de la prendre en bouche en entier, tant elle était grosse, mais même ainsi, je faisais de l'excellent travail. Je lui pompais le gland avec force, lui léchait de bas en haut comme si c'était une glace, le branlait vigoureusement, avant de la prendre en bouche allant aussi loin que possible. Le tout en le regardant droit dans les yeux, me délectant de le voir succomber à mes assauts buccaux, et de le sentir proche de défaillir. Je sentais bien que je prenais le pouvoir, lentement et sûrement, je mettais Kévin sous mon contrôle. Je le suçais comme ça pendant un bon moment, jusqu'à ce que je décide passer à la suite. Je me levai et vins à califourchon sur lui. Profitant du fait qu'il était toujours sonné par ma fellation magistrale, je l'embrassai furieusement, tout en le plaquant contre le dossier du canapé. Je retirai promptement mon jean et mon shorty, gardant le haut, avant de m'empaler sur son énorme queue. Rien qu'en la faisant entrer en moi, je poussai déjà un grand cri de plaisir tant elle était grosse. Je me hâtai de chevaucher cet immense pieu dressé pour moi. Je me mis à aller d'avant en arrière très vite, culbutant férocement Kévin, l'envoyant cogner le canapé. Je saisis son menton et l'obligeai à me regarder droit dans les yeux pendant que je le baisais comme une furie. Kévin ne tarda pas à gémir de plus en plus fort, tandis que des frissons de plaisir me parcouraient l'échine. Plus le temps passait, et plus je me déchaînais. Le rythme de mes assauts ...

... s'intensifiaient, le plaisir montait en moi et me faisait tourner la tête, tandis que je baisais Kévin comme une folle, lui malmenant la bite qui cognait inlassablement le fond de mon intimité avec délice. Je lui arrachai sa chemise la déchirant presque, et lui griffai le torse, avant de le gifler. Vu son caractère, je m'attendais à une réaction de sa part, à une tentative de reprendre le dessus. Mais il semblait incapable de faire quoique ce soit. Les yeux fermés, le corps cambré par le plaisir que je lui infligeais, le souffle haletant et lâchant des gémissements de temps en temps, il semblait sur le point de défaillir. Je compris alors que j'allais remporter aisément la première manche. D'un ton moqueur, je lançai « hmm alors qui démonte qui ? » Sous l'effet de ma provocation, il voulut réagir, sauf qu'au même moment, j'accélérai brutalement le rythme de ma baise. J'étais déjà à un rythme élevé, mais je me mis à aller si vite que le canapé se mit à tanguer. Kévin poussa un grand cri, son regard chavira sous le plaisir brut, et il fut incapable de réagir à ma provocation. Il n'eut d'autres choix que de me laisser maîtresse de la situation. Alors que je continuais de le baiser avec sauvagerie, je nous sentis arriver au point de non retour du plaisir. J'entamai alors le sprint final. Je me mis à bondir et rebondir sur sa queue de haut en bas, faisant grincer mon canapé, et hurler mon étalon. Je ne tardai pas à le rejoindre avec mes propres cris, c'était terrible de se transpercer ...