1. Rêveries particulières (2)


    Datte: 09/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... flûte enchantée se raidit, arrive au paroxysme de sa forme et je m’arrache d’elle juste au moment où le jet puissant sort de sa tête rougie par l’envie. La semence m’atteint les fesses, s’étale partout, descend le long de ma raie culière et coule sur les draps. Il me passe les doigts dans le sperme qui finit de se vider de ses couilles et amène ma main à ma bouche. Puis il se met à genou et me demande de nettoyer la bite souillée. Toi tu regardes ma langue aller et venir sur le capuchon où perle encore le liquide que je lèche goulûment. Dans ma gorge, ton sperme se mélange au sien et tu es stupéfait par ces images que tu n’aurais jamais rêvé voir. Ta main caresse ma joue et tu tentes de me calmer, mais c’est peine perdue, maintenant je suis chaude, braise incandescente qui ne demande plus qu’à être consumée. J’ai besoin d’être encore prise, par où vous pourrez, là où vous voudrez, je m’en moque mais je veux du sexe. Je me couche sur toi, prend ton vit à pleine main, puis avec la bouche je lui redonne assez de vigueur pour m’empaler dessus. C’est moi qui mène le bal, c’est moi qui dirige les assauts, c’est moi la maîtresse du jeu. Quant à notre invité, pendant que je me baisse sur ta queue, il s’empare de mes seins et tire sur les tétons. Il s’est mis debout dans le lit et me présente sa bite à sucer. Je m’exécute avec plaisir. Elle durcit presque immédiatement. Il passe derrière moi et me donne quelques gifles sur ma croupe qui se dandine, des claques plus sonores que ...
    ... douloureuses. Puis il m’emmanche d’une seule poussée et je suis prise en sandwich et le ramonage commence ! Je voulais du sexe et bien je suis servie, secouée de gauche et de droite, de haut en bas. J’ai des mains sur les fesses, des dents qui me mordent les seins et je hurle comme une damnée, que je ne veux plus que ça s’arrête. Et mes deux hommes jouissent encore au fond de mes trous qui sont bien huilés, bien graissés, alésés au calibre des pieux qui me percent. Quelle soirée, quelle nuit ! Je ne suis pas prête à l’oublier. Ils usent de moi jusqu’à midi bien sonné et je n’arrive plus à compter combien d’orgasmes j’ai eu. Douche et petit encas pris sur le pouce et Michel est reparti avec un Jean-Michel enchanté, espérant bien d’autres invitations. Tu es rentré vers quatorze heures et je suis dans le salon. J’ai droit à un baiser fougueux, tu me dis avoir aimé me voir ainsi me donner corps et âme à cet homme, mais également à toi. Tu m’expliques que tu voudrais encore recommencer et je ne réponds pas, puisque je sais déjà que mon avis ne serait pas respecté en cas de refus. Ce monde dont nous venons d’ouvrir une porte, me fascine peut-être plus que toi encore. Jusqu’à cette nuit, nous n’avions que fantasmé sur d’éventuelles rencontres, mais là nous avons mis un pied dans le libertinage. J’ai aimé cela, trop sans doute et j’ai peur de ne plus pouvoir m’en passer si nous allons plus en avant sur ce chemin. Je suis certaine que me voir jouir pareillement t’a fait saisir l’importance ...