La petite robe rouge - 3 - Histoires de Sexe

La petite robe rouge - 3

... de la ramener. Mais son corps a faim de nouveau, et l’attitude de Pierre il y a une demi-heure fait à nouveau pencher la balance. Elle ne bouge pas. Elle attend. Il a compris. Sam vient de se plaquer contre elle. Il l’embrasse dans le cou. Ses mains effleurent ses seins à travers sa robe. Elle sent contre ses fesses une virilité hors normes. Il lui dit : — Viens : on va s’amuser un peu tous les deux. Depuis ce matin, j’ai envie de toi. Il l’emmène devant le 4x4. Doucement, il ôte la robe noire et la pose à l’intérieur. Marie est presque nue, juste « vêtue » de son petit boxer en dentelle. La nuit est tombée. Il allume les phares. — Il paraît que tu as un joli ticket de métro. Tu me le montres ? Marie ne répond pas. Elle fixe Sam avec un regard trouble. Le petit boxer descend, tombe dans le sable. — Tu es belle. Tourne-toi. Montre-moi tes jolies fesses.— …— Va t’appuyer sur le capot. Marie se soumet au désir de Sam. Elle fait quelques pas. Elle appuie ses mains sur le capot encore chaud. Elle sent son ventre en feu. Elle se cambre. Sam s’est dévêtu. Après avoir longuement détaillé Marie du regard, il prend ses seins dans une main pendant que son autre main s’insère sans délicatesse entre ses cuisses… Après avoir caressé sa chatte, son pouce trouve son clitoris et le malmène avec énergie pendant que ses doigts pénètrent un par un dans son vagin. Hasard ou expérience, Sam a trouvé son point « G » en quelques instants et Marie a une première jouissance, courte mais intense. ...

... Délaissant ses seins, il enfonce sa tête entre ses jambes et entreprend de mordiller ses grandes et petites lèvres. Il la force à ouvrir les jambes au maximum. Il aspire son clitoris et le retient délicatement entre ses dents… Le traitement qu’il lui fait subir avec sa langue la fait jouir et crier plus de cinq fois en quelques minutes… Marie est désormais prête à l’accouplement. Il se plaque à nouveau contre elle. Elle sent son membre énorme contre ses fesses. Tout juste murmure-t-elle un « pas là… » en se cambrant plus pour indiquer à son nouvel amant la bonne direction. Elle sent le gland sur ses lèvres intimes, puis une énorme pression. Il vient d’entrer en elle violemment. Elle lâche un cri de bête en ayant l’impression d’être ouverte en deux. Ses cris font très vite place à des gémissements de plaisir. Elle jouit debout dans la lueur des phares. Sam l’emporte et la couche sur le siège arrière. Marie en veut encore. Elle écarte ses cuisses, impudique, offerte. Sam joue avec elle. Il se met sur le dos, lui demande de le chevaucher. Il s’amuse à la lancer vers le haut et à la faire retomber sur son énorme pieu dressé. Tour à tour sur le ventre, sur le dos et debout, en une heure ; Marie subit avec délectation les assauts. C’est elle qui demande à Sam de l’inonder. Son amant se vide en elle dans un rugissement. — Marie, on arrive. —ooOoo— Épuisée, Marie se réveille dans le 4x4. Elle ne se rappelle pas comment ou qui l’a rhabillée. Son vagin est endolori. — Tu as aimé ? En guise ...