Le bal de clôture
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
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... frère et mes sœurs au tournoi de beach-volley organisé ce jour-là au campement. Elle s’occuperait aussi de leur dîner. Au retour de Bordeaux, nous nous sommes arrêtés pour dîner, nous aussi. J’en ai profité pour mettre mes parents au courant de l’escapade prévue avec Fahri et Christine et je nous ai acheté le crémant promis. Le dimanche passé en famille autour d’un barbecue accompagné d’un rosé bien frais a été agréable pour tout le monde. Enfin nous avions le plaisir de vivre quelques heures intenses en famille. O O O O O O O O O O Le lendemain, je suis retourné chez Fahri, il me manquait, je voulais être avec lui. Le voir, voir ses yeux marron pétillants, voir sa bouche s’agiter par ses paroles, voir ses fesses rondes quand il devait me tourner le dos, ses tétons saillant au milieu d’aréoles sombres, sa verge dans différents états. Entendre sa voix chaude me raconter son travail au port, l’entendre aller, venir et vaquer à ses occupations, l’entendre me dire, dans un souffle, « Je t’aime bien ». Sentir son odeur mêlée à l’odeur des pins, sentir sa transpiration sous les aisselles et l’odeur poivrée de sa raie. Nous discutions sous l’auvent, allongés sur nos transats, dégustant chacun un verre de crémant glacé, j’en avais acheté plus que les trois bouteilles promises. J’ai avancé la main vers mon verre, j’ai rencontré la sienne qui faisait de même. Une petite décharge m’a parcouru le dos et j’ai légèrement sursauté. J’ai abandonné l’idée du verre, j’ai touché les doigts ...
... puis le poignet de Fahri, lui aussi a sursauté. — Viens, m’a-t-il dit, entrons, tu viens de réveiller la bête. Et il m’indiquait sa verge qui ne pendouillait plus. Les événements se bousculent dans ma tête, le passé, le présent, tout s’emmêle. Je ne suis plus à mon clavier, je suis sous l’auvent du chalet, Fahri me prend la main et m’entraîne à l’intérieur, non, il ne m’entraîne pas, je suis avec lui, je l’accompagne à l’intérieur. Ma verge suit l’exemple de la sienne, si belle sans prépuce, avec son gland rose planté au bout d’une tige dont je connais déjà la douceur et la propension à se tenir bien droite, bien dure. Il passe devant moi, ses fesses rondes balançant au rythme de sa marche. D’elles-mêmes, mes mains se posent sur ces coussins à la fois fermes et doux, un index se glisse dans la raie, gardienne du sombre secret plissé. Le seuil franchi et la porte fermée derrière nous, il se retourne vers moi, m’entoure la taille d’un bras qui m’attire à lui, pose l’autre main sur ma nuque, tirant ma bouche vers la sienne. Sa langue râpeuse caresse mes lèvres, elles s’ouvrent, révélant mes dents, lui livrant l’intimité de ma bouche. Un long corps-à-corps les oppose, un langue-à-langue plutôt, chacune cherchant des sensations à donner et à recevoir. Je plie les genoux, mettant nos fiers sexes au contact réciproque. J’empaume ses fesses, tirant son bassin vers moi, le mien ondulant de droite à gauche, d’avant en arrière, nos sexes se touchant et se caressant mutuellement. Ainsi ...