Les routiers sont sympas (13)
Datte: 10/04/2021,
Catégories:
Hétéro
... je t’apprendrai... si tu veux bien... — Je ne demande que ça... Apprendre et pratiquer... » Tout en parlant, nous avons nettoyé, rangé, refait le lit en le recouvrant d’un drap de bain en tissu éponge.,. Nous nous sommes douchés... Allongés, nus, sur le lit, nous nous embrassons, nous nous léchons, nous nous caressons... Mon chibre est toujours aussi tendu, Élodie mouille de plus en plus... De léchages en baisouillages, je descends vers son bas-ventre, vers la fourche des ses cuisses grandes ouverte... Ne pouvant résister à cette invitation, je lampe quelques gorgées de nectar, embrasse et suçote le petit oiseau qui ne tarde pas à sortir de sa cage... J’ai du ramper pour arriver à cet endroit... Nous nous retrouvons tête bêche, en position pour tenter d’initier Élodie à la pratique du soixante-neuf... Ma biroute est à quelques centimètres de sa bouche... Je la prends d’une main et je lui dis : « Tiens... Attrape !... Caresse !... Embrasse !... Suce !... N’ai pas peur !... Ose !... » Elle comprend vite... Instinctivement elle me l’attrape à pleines mains, fait quelques mouvements masturbatoires, du bout des lèvres, embrasse le gland... Elle ouvre la bouche pour la sucer... Je sens sa langue, chaude, humide, caressante qui en fait tour... « C’est bien Élodie !... C’est bon !... Tu me fais du bien !... Continue !... » Elle sort ses mains, s’enfonce mon organe jusqu’au fond de sa bouche et me masturbe par des hochements de tête. La tension monte dans mon service trois pièces et ...
... s’irradie dans tout mon bas ventre... Ne voulant pas m’éclater dans sa cavité buccale, j’arrête tout. Je m’allonge sur le dos, mon membre viril pointé vers le ciel. Je fais mettre Élodie à genoux, à califourchon au-dessus de mon bassin... Je mets une serviette de toilette à portée de main... Nous nous regardons... Nous nous sourions... Je prends mon gourdin en main et le frotte contre le minou de ma partenaire. Sa tête chercheuse ne tarde pas, sur ce chemin glissant, à trouver l’entrée du terrier rose... « Élodie, Tu aimes ce que je te fais ?... Ça te fait du bien ?... — Ouiiii... C’est bon !... — Alors, continues !... Fais-toi plaisir !... Fais-toi du bien !... Fais-la rentrer dedans !... Empales-toi dessus !... » Sa main remplace la mienne... Elle agite le bâton qui rend fou tout en se l’enfonçant dans le bénitier. Arrivé au fond, elle se penche en avant, prend appui sur ses deux bras, agite son train arrière, alternativement, de haut en bas... Immobile, j’observe la montée de son plaisir sur son visage, j’écoute sa respiration haletante... Je glisse une main sous l’oreiller, attrape un préservatif qui j’y avais caché, en défait l’emballage... Quand Élodie commence à accélérer la cadence, je la stoppe, la fais lever pour faire sortir le bâton à un bout de son étui à clarinette. Je pose la capote sur le bout et commence à la dérouler... - « Vas-y !... Continue !... Déroule tout !... Avec ça, tu n’auras pas de bébé... Fais-moi plaisir !... Fais-moi jouir !... S’il te plait ...