1. Amour africain


    Datte: 10/04/2021, Catégories: fplusag, couleurs, extracon, Collègues / Travail fsoumise, confession,

    Bonjour ; comme mon pseudo l’indique, je me nomme Patricia Cammarena, j’ai 42 ans, je suis mariée depuis de nombreuses années mais nous sommes tombés dans la routine. Je suis secrétaire comptable dans une grande entreprise française basée en région parisienne. Je suis BCBG, issue d’un milieu bourgeois, belle si l’on en croit les regards des hommes sur moi, dans la rue ou sur mon lieu de travail. Depuis quelques jours, je suis attirée par un de mes collègues de boulot, fraîchement embauché. Et son premier attrait est sa peau d’ébène. Oui, il est black et je me rends compte que cet homme me rend folle. À chaque fois que je le vois, je sens ma culotte se mouiller et j’oublie totalement mon mari et ma famille. Je n’ai qu’une idée : coller mon corps blanc contre son musculeux corps noir et me faire prendre sauvagement dans le bureau. Tous les jours je l’aperçois et je ne peux m’empêcher de ressentir cela, avec de plus en plus d’envie chaque jour. Le fantasme que je nourrissais pour les hommes blacks durant mon adolescence remonte immédiatement à la surface. Le soir, lorsque je fais l’amour avec mon mari, je ferme les yeux et pense que c’est l’objet de mes fantasmes qui m’honore. Petit à petit je deviens une femme qui désire être l’objet sexuel d’un homme noir et le fait qu’il soit plus jeune m’excite encore plus. Je m’habille de plus en plus sexy, provoquant l’étonnement de mon époux, et de mes enfants. J’ai ressorti mon pantalon de cuir, abandonné après ma deuxième grossesse, ...
    ... mes talons, mes cuissardes. J’ai acheté de la lingerie sexy et des sextoys imitant des sexes africains, mais ce que je veux, c’est lui. Il hante tous mes rêves, et je suis absente, pendant les repas de famille, pensant à son corps noir et si sexy. Durant la période de bilan, nous devons rester tard au bureau pour boucler toutes les formalités comptables. Je me retrouve tard au bureau en ce jeudi soir. Fatiguée par le rythme effréné de cette période, je décide d’aller me chercher un bon café. Au détour d’un couloir, je m’aperçois que l’objet de mes fantasmes est là aussi, seul dans son bureau, travaillant d’arrache-pied. C’est ma chance, ni une, ni deux, je pénètre dans son bureau, après avoir déboutonné mon chemisier. Nous échangeons quelques mots et je remarque son regard plongeant dans mon décolleté. Je ne le laisse pas indifférent, et j’en suis heureuse. Je le drague intensément et je remarque à présent une érection dans son pantalon. Sans un mot, je saisis ma chance, je me positionne à ses genoux et déboutonne sa braguette. Il ferme les yeux, tandis que je sors son énorme sexe noir de son caleçon. Je suis sidérée de sa taille, qui dépasse allégrement celle du sexe de mon mari. Je ne peux résister, je passe ma langue autour de son sexe circoncis, tout en caressant ses testicules. Je le suce comme je sucerais une gourmandise au chocolat je suis conquise, plusieurs fois je fais des gorges profondes sur son mat. Il baffe même mon visage avec son sexe puis baise ma bouche, et le ...
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