1. Je me suis mis à faire des ménages (2)


    Datte: 10/04/2021, Catégories: Transexuels

    ... je me suis mis à aller et venir dans ma partenaire, cela me faisait quand même tout drôle d’être habillé en femme pendant que j’honorais ma patronne. Coralie bougeait de tous ses membres à chaque fois que je rentrais en force en elle, mon petit doigt me dit qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis très longtemps. Son vagin épousait parfaitement les dimensions de mon sexe et je pense que nos sexes étaient faits l’un pour l’autre au niveau sensation. Moi qui étais accroché à ses bras, j’ai commencé à prendre l’initiative d’aller lui exciter la pointe des seins. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais Coralie s’est mise à pousser des cris monstrueux; il m’a fallu quelques instants pour réaliser qu’elle était en train de prendre son pied. Je me suis mis à l’embrasser fermement, histoire de la faire taire; là elle m’a saisi la tête pour partager ce baiser avec beaucoup de gourmandise. J’ai continué à la besogner plusieurs minutes avant de moi aussi finir par prendre mon pied, je lui ai déposé de longues giclées de sainte liqueur. J’ai vraiment eu l’impression que Coralie avait senti masemence arriver en elle. Ma patronne m’a fait inverser les rôles à savoir qu’elle m’a fait allonger sur le lit tout en restant en moi, mais c’est elle qui était désormais au-dessus. Elle a tiré le drap sur nous, puis nous nous sommes assoupis, personnellement elle venait de m’épuiser; manifestement c’était la même chose pour elle. Nous sommes facilement restés dans les nuages une bonne heure avant ...
    ... de reprendre nos esprits. Une fois réveillée Coralie avait repris beaucoup d’énergie et elle a décidé que nous irions travailler un peu dans le jardin histoire de nous occuper des plantations et de la taille de ces dernières. Voilà comment je me suis retrouvé dans le jardin avec un survêtement très spacieux avec en dessous une robe très longue, très douce et très fine; une douce culotte à elle qui sentait très bon ma femme, un collant lycra mais surtout elle m’avait laissé mon collier qu’elle avait dissimulé sous un foulard en soie. J’avais un peu la pétoche que des voisins viennent chez mon employeuse et me voit ainsi accoutré. Il m’arrivait fréquemment de me mettre à quatre pattes pour travailler la terre; à ces moments-là, ma patronne me collait une main au cul, avec le majeur bien positionné dans la raie des fesses. C’était assez humiliant, mais j’adorais qu’elle me le fasse. Coralie m’a expliqué que m’avoir ainsi vêtu avait pour but de calmer en moi toutes mes velléités de macho; c’est vrai que dans cette tenue il n’y avait plus de macho, et juste un homme soumis. J’adorais jardiner dans son jardin, mais là où j’habitais je n’avais qu’un appartement et je me limitais à des pots de fleurs pour le jardinage. Sur mon balcon j’avais quand même planté du bambou qui montait chez le voisin; heureusement que ce dernier s’en amusait. Ce que je détestais chez Coralie c’était de lui tailler ses rosiers. À vrai dire cette fleur est belle, elle sent bon, mais je déteste imaginer que ...
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