1. Anne-Lise


    Datte: 11/04/2021, Catégories: f, asie, forêt, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme fdanus, init,

    ... son intimité. Elle attend que la vague de plaisir qu’elle sentait monter en elle se calme, s’adoucisse, puis reprend son va-et-vient infernal. Ainsi atteint-elle un crescendo qu’aucun de ses amants passés n’a jamais réussi à lui procurer. Les doigts s’enfoncent de plus en plus loin dans son sexe. Quelquefois elle arrive à toucher le fond de son vagin et, rapidement, du bout de l’ongle, elle gratte la muqueuse de l’entrée de son utérus, provoquant un long spasme de son vagin qui lui écrase alors la main. Mais pour aller encore plus haut, encore plus loin dans son plaisir solitaire, elle suspend à nouveau ses gestes, puis recommence et accélère alors le rythme de ses pénétrations intimes. Les seins de plus en lourds et tendus, le sexe et l’anus largement ouverts, inondés de cyprine, Anne-Lise imprime maintenant à ses doigts un rythme de plus en plus rapide. À chaque pénétration elle va de plus en plus loin. Les petits cris du début ont laissé la place à de grands râles, forts, rauques, et sa respiration est de plus en plus difficile. Anne-Lise sent la jouissance la gagner, monter en vagues rapides, serrées. Son ventre se soulève, ondoie. Ses fesses décollent du sol. Enfin, dans une onde fulgurante qui irradie de tout son corps, elle s’arc-boute et jouit longuement, poussant un long cri rauque de plaisir, avant de retomber, tétanisée, les mains prisonnières de ses chairs excitées, humides de cyprine et de transpiration. Elle n’ose plus bouger. Le moindre tressaillement ...
    ... prolonge et ravive son plaisir et l’oblige à l’immobilité. Un temps infini se passe durant lequel elle savoure l’atténuation des ondes et le retour au calme de son corps qui se détend au fur et à mesure. Enfin, elle peut bouger. Déjà, elle retrouve sa liberté de mouvement, sans ressentir au fond de son sexe une nouvelle onde de plaisir. Alors Anne-Lise ouvre les yeux. A sa grande surprise, autour d’elle, le groupe de chimpanzés est assis, à deux mètres d’elle. Ils ont formé un cercle et la contemplent. Les jeunes mâles, étrangement silencieux jusque là, la voyant se redresser, commencent à se manifester, poussant des cris et battant des mains, tandis que les femelles se passent la main devant les yeux à plusieurs reprise en poussant d’étranges "Youyou". Surprise, Anne-Lise qui tout doucement est en train de revenir à la réalité, se redresse contre le tronc de l’arbre qui lui sert de dossier. Soudain elle analyse et comprend la situation, et une grande onde de honte secoue son corps de haut en bas et fait monter une bouffée de chaleur à son visage. Depuis quand sont-ils ainsi, à l’observer pendant qu’elle se caressait le minou, se demande-t-elle ? Elle ne sait pas. Elle n’a plus aucune notion du temps qui passe et qui est passé. Elle tourne la tête pour faire le tour du cercle de paires d’yeux qui la fixent avec insistance, cherchant Bouba, le dominant. À travers un rai de lumière qui fend les troncs d’arbres, elle l’aperçoit, légèrement en retrait. Il s’est emparé de la caméra, la ...