1. Petit cinéma


    Datte: 11/04/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, cinéma, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fsodo, totalsexe,

    ... sourire. Juste après, les faibles lumières s’éteignent, une musique tonitruante retentit, le film va bientôt commencer. Les lumières éteintes, sauf les veilleuses, le film commence, nous sommes toujours cinq dans la salle. Ma voisine se focalise sur l’écran, et souvent elle rit. Je me demande ce que je dois faire. Je décide de continuer à la regarder, elle, plutôt que le film. Elle s’en aperçoit vite, puis après un petit flottement, elle me sourit. Sans cesser de regarder l’écran face à elle, ma voisine croise et décroise ses jambes, afin que je puisse mieux les admirer, ce que je fais. Je dois reconnaître qu’elle a de belles gambettes, de celles qu’on suivrait bien dans une rue… Je décide de franchir une étape en venant m’asseoir juste à côté d’elle. Je lui adresse un petit bonsoir, elle me répond muettement en souriant. Comme le bas de sa courte robe est bien relevé, je peux admirer ses cuisses gainées de noir, et aussi la bande sombre de tissu qui borde un peu de chair blanche, à l’orée du tissu. Elle sait très bien ce qu’elle me révèle, et ne fait rien pour le cacher. Elle tourne un peu la tête vers moi, tout en souriant, sans amorcer le moindre geste. Est-elle simplement exhib, refusant d’aller plus loin que de dévoiler un peu ses charmes ? Est-elle plutôt passive, attendant que je sois plus entreprenant ? J’opte alors pour la seconde solution, en espérant ne pas me tromper. Au pire, je serais bon pour une gifle. Me jetant à l’eau, ma main effleure délicatement sa ...
    ... cuisse. Elle ne réagit pas. Alors je persiste. Elle se contente de sourire, les yeux rivés sur le film. Je caresse franchement sa cuisse. Je constate qu’elle apprécie. Est-elle en manque ? A-t-elle l’habitude de se laisser aborder de la sorte ? Faut-il vraiment que je me pose ce genre de question ? Elle s’avachit un peu plus sur son siège, écartant un peu les jambes, comme offerte. Sa robe courte remonte un peu plus, dévoilant ses cuisses ainsi que l’amorce d’un porte-jarretelles, ce qui est très excitant. Mes yeux s’habituant à la pénombre, je me demande si elle porte une petite culotte couleur chair, ou si elle n’a rien du tout pour couvrir son intimité. Il n’y a qu’un moyen certain de vérifier : ma main glisse le long de sa cuisse gainée jusqu’à caresser sa chair blanche par-delà de la bande noire. Puis j’ose suivre l’arrondi de son bas-ventre pour venir taquiner son pubis. Pas la moindre trace d’un quelconque tissu. J’ai visiblement affaire à une petite salope, ce qui n’est pas pour me déplaire ; pas besoin de circonvolution, ni de phrases bien tournées avec ce genre de femme : elle veut du sexe, elle en aura. Elle pousse un léger soupir quand mes doigts s’aventurent à l’orée de sa fente entrouverte. Je constate avec plaisir que cette cochonne est déjà mouillée. Ah si seulement la plupart des femmes étaient comme elle ! Ça simplifierait bien des choses entre hommes et femmes ! Après une petite exploration de sa fente afin de me charger de cyprine, je taquine son clitoris ...
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