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Ma mère Martine 04
Datte: 11/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe
... grosses saccades qu'il libère son foutre dans les entrailles de maman. A mon tour, je me décharge à l'intérieur de son vagin. Ma mère a abandonné la fellation qu'elle pratiquait sur Joachim et elle hurle de bonheur comme jamais. Une bouffée de chaleur électrique monte en elle : Elle atteint l'orgasme. Elle se sent pleine de semence chaude et éprouve un sentiment de jouissance intense. Le moustachu et moi nous retirons et la laissons sur le lit, bien pleine, se remettre de ses émotions. Mais Joachim n'avait pas eu son compte et se mit au-dessus d'elle. Il s'empare des gros nichons de maman qu'il frotte autour de sa grosse queue pour se branler. Ma mère pose ses mains sur les mains du noir et l'aide à presser ses grosses loches aux larges auréoles brunes. Au bout de quelques minutes de branlette espagnole, il ne se retient plus et explose. Le sperme jaillit et inonde l'opulente poitrine de maman ainsi qu'une bonne partie de son visage. Affamée, elle commence à lécher le foutre étalé sur ses seins puis récupère avec ses mains le sperme maculant son visage. Elle lèche un à un ses doigts devant nous avec un air de chienne en chaleur. Selim a pris Joachim à part et échange quelques mots. Le moustachu remet son pantalon, me félicite de nouveau d'avoir une mère aussi salope et me conseille d'en profiter sans me poser de question. Puis il s'en va, heureux d'avoir pu baiser cette femme facile qui n'est autre que ma mère. Je sens que la soirée se termine et je décide de raccompagner ...
... les deux compères. Mais Selim vient vers moi et me demande mon numéro de portable que je lui donne. - Ecoute, on va embarquer cette pute avec nous et on te la ramènera dans deux jours. . Excité par une telle proposition, complètement saoul et sans réfléchir aux risques encourus, j'accepte mais à la seule condition qu'ils filment la scène au caméscope numérique. Selim me regarde avec des yeux de pervers et opine. Ils se dirigent vers la chambre ou ma mère est allongée encore sous l'effet du plaisir procuré par cette partouze inespérée. Joachim la prend par les pieds et Selim par les bras puis ils l'emportent, complètement à poil, comme un vulgaire sac de patates vers la camionnette. - Vous oubliez ses vêtements. Leur crie-je, bien naïf. Joachim éclate de rire : - Là où on l'emmène, elle n'en a pas besoin. Ils poussent maman dans la camionnette et s'en vont avec leur butin. Pendant deux jours, je me maudissais encore et encore d'avoir fait ce geste infâme et si ignoble. J'avais livré ma propre mère à des inconnus. Je me jurais de ne plus boire une goutte d'alcool de ma vie après ça. Selim m'appelle enfin pour me donner des nouvelles. - Ta mère ne parle pas beaucoup mais écoute ça. A travers le portable, j'entends les rires de nombreuses personnes ainsi que des tintements de bouteilles. J'entends également des cris de jouissances de femme qui en disent long sur la principale activité de ma mère. Selim me confirme son retour demain soir et il me dit : - Demain, j'aurai une petite ...