1. Évaluation


    Datte: 12/04/2021, Catégories: fhh, hbi, Collègues / Travail hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, confession, couple+h,

    ... son sexe dont l’épaisseur me surprend. — Ginou, mon amour, Lavergne a réellement vu tes photos, il est fou de toi, de ta chatte, de ta sensualité. Là, il te regarde, tu verrais dans quel état il est…— Oh oui, il sait que je suis une salope, et que j’aime la bitte. Ginou est toujours dans le scénario, elle joue le rôle que je lui ai distribué, le gode va-et-vient en elle, décuplant le bruit de clapotis et l’intensité de sa mouille, sous la fébrile activité de sa main. Elle profère ses propos toute haletante du fait de son intense excitation. — Montre-moi ta bitte, chéri, que je voie comme je t’excite.— Mon amour, m’autorises-tu à laisser ma place à Lavergne, que tu le voies toi aussi, lui qui te regarde depuis le départ ? Ginou, dominée par ses sens, murmure un oui, plutôt un gémissement en forme de oui. — Mais tu m’aimeras toujours après ?— Oui, mon cœur, sans doute davantage encore. Je suis persuadé que nos derniers mots ne sont dits que pour sauver les apparences. Ginou lâche un « bon d’accord » d’un ton qui montre de la curiosité, et ajoute : — Vous vous êtes… touchés, pendant que je me caressais ?— Non, mon amour… Je me déplace sur la droite, monsieur Lavergne n’attend pas mon invitation pour s’asseoir à côté de moi, il se met face à la caméra, son peignoir grand ouvert, son sexe dressé offert à Ginou. — Tu aimerais le sucer, coquine ?— Oh mon dieu quelle bitte… Oui, j’aimerais bien vous sucer, goûter ce gros morceau… C’est vrai que mon sexe ne souffre pas la comparaison ...
    ... avec celui de Lavergne, bien plus long et épais que le mien. — Branle-toi bien salope, je veux voir ta mouille couler. Monsieur Lavergne ne fait pas dans la poésie, Ginou ne semble pas choquée par ces vulgaires propos, je vois son regard « scotché » sur l’engin de mon boss et sa main faire coulisser de plus en plus vite son godemichet, Lavergne se masturbe en matant Ginou qui prend un réel plaisir à voir et être vue. Ils échangent des propos obscènes auxquels Ginou prend goût, nous sommes tous les trois dans un état intense d’excitation, loin de la réalité et de la convenance, Ginou s’adresse à Lavergne : — Dites à mon mari de vous sucer, comme si c’était moi qui le faisais.— T’as entendu salope, suce-moi ! me dit monsieur Lavergne, que ta femme voie ta soumission. Encore une fois, je fais preuve de docilité, je me penche et prends en bouche l’énorme sexe de monsieur Lavergne qui me dit : — Si tu voyais comme ça excite ta femme de te voir en pute soumise à ma bitte… J’entends Ginou qui se délecte de ce spectacle. — Mon amour, c’est beau de te voir en train de sucer un vrai homme qui, lui, a une vraie bitte. Elle entre dans le jeu de monsieur Lavergne, le jeu de l’humiliation. — Oh mon amour, j’ai hâte que tu invites monsieur Lavergne à la maison, qu’il te montre comment on baise une femme. Elle commence à gémir, elle n’est pas loin de la jouissance. — Attends-moi, salope, lui dit Lavergne, on va jouir en même temps. Ginou hurle un « je jouis », son orgasme est ponctué de cris ...