1. Étreintes tempétueuses


    Datte: 12/04/2021, Catégories: fh, bizarre, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, confession,

    ... me recule un peu mais un pinçon plus appuyé que les autres me plaque de nouveau à elle. Elle comprend mon geste de refus et sait qu’elle doit prendre son temps, tout son temps que nous nous libérions de l’esclavage des heures, que tout soit laissé à l’initiative de nos deux corps. Une autre main court sur ma poitrine, toute chaude maintenant, sur mon ventre qu’elle palpe cherchant à deviner le lieu de naissance de toutes mes émotions charnelles. Elle bute sur la ceinture de mon pantalon. Elle descend encore et caresse dans un va-et-vient, appuyé et vigoureux, mon sexe dont les contours se dessinent nettement sous le tissu de mon jean. Je ne suis pas en reste, j’ai aussi faim de m’accaparer son corps qui m’avait tant ému. Mes mains affamées sur ses fesses toutes rondes et fraîches. Je pétris son postérieur, je veux qu’il se souvienne de moi, de mes doigts qui emprisonnent, impriment leur empreinte, massent savamment la masse généreuse qui s’offre à moi et se laisse travailler. Je me bats plusieurs fois avec la ficelle de son string, qui bien que très fine, m’empêche de prendre totalement possession de sa fente profonde et de côtoyer son anus qui se prépare déjà à une investigation plus osée. — Vous êtes entreprenant, audacieux, dirais-je. C’est peut-être l’effet d’une abstinence prolongée et frustrante ! Ne vous affolez pas ; ou est-ce moi qui suis pressée, trop pressée d’aboutir, de gagner l’extase ? Attardons-nous, musardons sensuellement !— Je vais goûter vos seins. Ils me ...
    ... paraissent mûrs, prêts à être sucés, tétés et croqués. Vous savez comme je les trouve appétissants vos deux bonbons d’amour.— D’amour ! C’est vrai, c’est ainsi que vous les aviez appelés. D’amour, croyez-vous ? Je ne sais plus trop ce que ce mot signifie, et vous ?— Je ne peux pas vous répondre. Je ne suis pas certain de savoir tout ce qui se cache derrière ces lettres. Je ne lui laisse pas le temps de poursuivre ses réflexions étranges, porteuses d’amertume, de dépit et de lassitude. Ma bouche se plaque sur une de ses tétines, se colle sur la peau soyeuse. Je déploie mes lèvres aussi largement que possible, mais je ne parviens pas à avaler complètement son sein qui tente d’échapper à ma bouche. Je l’aspire pourtant, je sens son téton dur comme de l’acier heurter la pointe de ma langue, sage pour le moment. Je le tète, obsédé par la quête d’un liquide inconnu dont j’aimerais découvrir le goût et l’odeur. Je dois lui faire mal, elle se tortille mais mes mains bien à plat sur ses fesses et au cœur de sa faille, où elles titillent son anus la bloquent contre mon corps. Catherine n’a pas d’autre échappatoire que de se précipiter sur ma verge, elle commence de défaire la ceinture de mon pantalon, je l’aide comme je le peux, occupé que je suis à traire ses seins avec ardeur. Je les abandonne enfin. Ses deux tétines sont au comble de leur grosseur, violettes, boursouflées comme l’aréole qui les entoure, tant elles ont été agressées par ma langue et mes lèvres, mâchées, mâchouillées, ...
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