Étreintes tempétueuses
Datte: 12/04/2021,
Catégories:
fh,
bizarre,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
confession,
... son liquide tout blanc. Elle m’enduit avec le mélange de nos sucs, elle fait couler cet onguent intime le long de ma verge. Elle coulisse ainsi de plus en plus vite sur mon vit qui vibre, qui rugit, qui hoquette brutalement et qui parfois tente de fuir la pince implacable de sa main. Elle poursuit sa quête, je la caresse toujours plus profondément, j’introduis à chacune de mes descentes plusieurs doigts dans son vagin trempé, submergé. Elle frémit et crie dès qu’ils sont en elle, insistants, trop curieux, peu respectueux, ils astiquent la protubérance mystérieuse qu’ils viennent de révéler au hasard de leurs palpations. Catherine s’affole dès qu’ils passent sur ce bouton intérieur. Nos deux corps sont saisis de longs frémissements, de haut-le-cœur, de tensions bizarres, toujours plus fortes, plus violentes, de moins en moins espacées. Le plaisir est là, notre plaisir, une onde merveilleuse qui nous avait fuis si longtemps et que nous n’arrivions plus à reproduire en dépit des multiples artifices. Il jaillit de partout, il nous bouleverse, il est à la fois douloureux et bon. Nos corps accrochés l’un à l’autre entament un tangage incohérent. Je sens que les muscles de mes cuisses et de mon dos se tendent, se crispent, s’endolorissent. J’ai l’impression que ma main qui s’active sur son sexe, qui n’est plus qu’une pierre couverte d’eau, est folle et ne la touche plus. Une douleur traverse mon bras et je crains d’abandonner, de l’abandonner. Je ferme les yeux, je tente ...
... désespérément de calmer ma respiration, de dompter tout mon être, peine perdue. Je crois que je ne la possède plus, c’est à cet instant que Catherine se plie en deux plusieurs fois. Elle s’agrippe à moi, ses ongles griffent mon dos, mes reins, mes épaules et tentent de rejeter mes mains. Elle a laissé tomber mon sexe qui darde entre ses cuisses. Elle me pince, elle me frappe, rien n’y fait, je ne maîtrise plus mes doigts qui la font sombrer dans un égarement érotique intense. Elle va s’évanouir, j’en suis persuadé, je l’enferme encore plus fort contre moi et j’éjacule. J’expulse un premier jet puissant, brûlant qui éclabousse nos deux corps, nos ventres, nos toisons déjà bien humides, collées et froissées, nos jambes défaillantes, son sexe qui attend ce moment, impatient qu’il est de s’abreuver à ce miel humain. D’autres jets suivent moins abondants, clairs pour finir en gouttes épaisses puis toujours plus fines. À chaque fois, je me tends et me détends comme si je pouvais parvenir à dominer ma mécanique intérieure. Une ultime gorgée de sève opaque et grasse me surprend. Je suis inépuisable, ces moments de passion charnelle m’ont régénéré. Surprise quelques secondes par la violence de ma délivrance et par la hauteur atteinte par ma première giclée Catherine ne perd plus rien de tous les bouillonnements de mon piton volcanique qui pointent tout au sommet de la faille qui entaille mon gland. Ce sont de grosses gouttes qui sourdent lentement. Elles s’épanouissent, s’étalent sur la chair ...