Étreintes tempétueuses
Datte: 12/04/2021,
Catégories:
fh,
bizarre,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
confession,
... jour qui ne cesse de gagner en intensité. Il retrouve sans peine la villa baroque à l’intérieur de laquelle Catherine avait exploré de fond en comble son intimité. Pas de volets ouverts, elle est fermée, vide et triste. Mais tout à côté, dans une construction mitoyenne, incongrue et toute bizarre, il remarque une baie disproportionnée et une forme qui semble plaquée contre la vitre. Il est encore éloigné, cependant il n’a aucun doute, le visage collé au verre est celui de Catherine. L’a-t-elle vu ? L’a-t-elle reconnu ? Jean-Marie relève sa capuche, il doit lever tous les doutes. La silhouette quitte le bord de l’eau et se dirige vers elle, Jean-Marie l’aurait-il reconnue ? Toute sa sensualité qu’elle croyait perdue à jamais ou enfouie si profondément en elle jaillit, explose en de multiples soubresauts, sous sa peau, au-dessus de sa peau. Tout ce qui l’accablait, voûtant ses épaules, la broyant et l’épuisant, disparaît. Catherine se sent légère, elle se redresse, elle se regarde dans le miroir, son visage n’est plus le même. Sa pâleur inquiétante a laissé place à une douce rougeur et les quelques rides qui la chagrinaient se sont effacées. Ses seins sont de nouveau bien haut et ses tétons pointent vigoureusement, elle ne peut pas les ignorer. Son corps exulte, son t-shirt est d’un seul coup trop étroit et trop court pour contenir ses formes ragaillardies. Elle songe. Ce morceau de tissu ne lui sert plus à rien, les pinces de froid qui tout à l’heure la mordaient sont des ...
... souvenirs lointains, elle a même chaud. De ses mains elle soulève sa poitrine de nouveau généreuse, prête à s’offrir. Elle la porte, la fait vibrer doucement, elle la masse par le bas, écrasant au passage ses tétines. Elle repose ses mamelons, ce qu’ils peuvent avoir durci en si peu de temps ! Elle frôle son pubis, couvert par cet étroit string en coton. Elle perçoit aussitôt la présence au creux de son entrejambe, la présence d’une humidité naissante qui trahit l’émotion, le désir intense de son corps en attente et gourmand. Catherine fait basculer son t-shirt par-dessus sa tête, ébouriffant sa chevelure, mais cela n’a aucune importance. Jean-Marie va y plonger les mains et la peigner à sa façon, soufflant en même temps un air chaud dans son cou, juste en dessous de ses oreilles, là où se déclenchent ses arcs électriques qui la font se ployer, se pâmer et se donner. Elle garde son string, il faut qu’il lui reste quelque chose à faire découvrir, séduire et conquérir. Elle se sent comme si Jean-Marie, ses doigts, sa bouche étaient déjà sur elle, admirateurs, joueurs, explorateurs. Elle n’a plus de temps à perdre, dans quelques secondes il sera derrière la porte. Ne sera-t-il pas surpris par cette tenue coquine et effrontée ? Que va-t-il penser de moi ? Que dira-t-il après ce vide de plus d’un an ? Jean-Marie n’a pas le temps de frapper le panneau de la porte que celle-ci s’entrouvre et que Catherine le laisse pénétrer dans une pièce vaste et lumineuse, au bout de laquelle il ...