1. Ma madame Claude à moi (1)


    Datte: 12/04/2021, Catégories: Transexuels

    Ma madame Claude à moi, Je sors d’une réunion de chantier particulièrement pénible, mon entreprise était en hors délai et je n’avais rien pu répondre aux attaques de tous les participants. Je rentre à mon hôtel et après avoir pris ma clef je m’approche de l’ascenseur. Et, cata, devant l’ascenseur l’architecte, une superbe blonde de 1,80m sapée comme une déesse avec un tailleur dont le pantalon met en valeur un cul bombé et une veste d’où a envie de déborder une paire de seins qui trop imposante pour être naturelle n’en est pas pas moins une tentation pour les lèvres de l’honnête homme que je suis. Elle était une de plus virulentes lors de la réunion en allant même jusqu’à personnaliser ses attaques sur mon incompétence personnelle. Elle a droit à un petit signe de tête de ma part et je la laisse entrer la première dans la cabine. J’appuie sur le 5 et me retourne vers elle, elle lève 4 doigts. J’appuie de nouveau et nous démarrons, son parfum un peu pimenté me saisit le cerveau ce qui déclenche une chatouillement dans tout le corps. Etonné de cet effet produit je la regarde et elle me sourit, comme pour me répondre, elle appuie son regard et passe sa langue sur ses lèvres. C’est un invite expressive et le chatouillement se transforme en un gonflement dans mon entrejambes. L’ascenseur s’arrête au 4e et elle se propulse vers la porte en me frôlant plus que nécessaire. Je continue seul et je bande encore quand j’arrive dans ma chambre. Je tourne un moment en rond en me disant ...
    ... qu’une occasion pareille ne doit pas se rater. Je décroche le téléphone et demande à la réception la chambre de Madame Claude Duprée. Elle décroche avec un allo rauque très différent du ton qu’elle avait en réunion. Je m ‘annonce, Jacques Vangard, je sais, dit elle, j’attendais votre appel. J’en reste muet, elle reprend : « Que puis pour vous. ». La réponse que j’ai envie de faire me semble un peu précoce et je bafouille : « Pour oublier cette réunion pénible accepteriez vous un verre au bar de l’hôtel ? » La réponse est chaude et me coule dans l’oreille comme un baiser : « Avec plaisir, vous me laissez une heure pour un bain et me changer » Je fais de même et je descends dans l’heure qui suit, en pantalon et polo, cela met bien en valeur ma carrure d’ancien rugbyman même un peu empâté. Elle est déjà là, elle a dénoué ses cheveux qui sont mi- longs sur ses épaules, elle a un chemisier largement ouvert qui présente deux globes superbes et une jupe, qui sans être mini met en valeur des jambes superbes et , le tabouret aidant, le début d’une cuisse dorée. La conversation porte sur des banalités, sur la ville qu’elle ne connaît pas, n’y venant que pour le chantier, Apres lui avoir décrit les endroits de la vielle ville à voir je lui demande si elle avait l’intention de diner à l’hôtel et dans ce cas si nous pouvons partager ce repas. La conversation se poursuit au cours du repas et je lui demande, innocemment, comment elle occupe ses soirées dans ses nombreux déplacements. Je lis, ...
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