1. Eric (1)


    Datte: 12/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... les vannes et des flots de spermes viennent tapisser le fond de la glotte de sa belle-mère tapissant ses amygdales. Elle avale le tout et finalement trouve le goût tout à fait convenable, bien de meilleur que les souvenirs qu’elle avait de la chose. Eric approche sa bouche de ses lèvres et ils échangent un baiser où le souvenir des couilles d’Éric plane toujours. — Tout ceci est bien beau, mais j’ai la dalle, que dirais-tu d’un bon petit café, j’ai une machine qui le fait super. Après le petit déjeuner, les deuxamants sortent pour passer à l’uni, pour contrôler si tout est en ordre pour demain où les cours commencent. Le soir, en rentrant, ils rendent évidement le matelas qui est devenu inutile car maintenant que les deux se sont trouvés. Ils ne sont pas près de faire lit à part. Le soir, le portable d’Éric sonne, c’est son père qui l’appelle depuis la Chine pour prendre des nouvelles. — Alors fiston, comment cela se passe ? — Très bien père — Vous vous entendez bien avec Yvette ? — Oui, super, on a passé une journée magnifique et une nuit encore mieux. — Je vois, je pense qu’elle ne se plaint plus de mes ...
    ... manquements. jajhhrx — Non pap, j’ai fait le nécessaire. — Continue comme cela, c’est très bien. Entendant la discussion entre le père et le fils, notre perverse Yvette s’attaque à son bas de pyjama et sort sa queue qu’elle prend en bouche pendant la conversation. Éric a un peu de la peine à se concentrer sur ce que dit son père et pour couper court au problème lui propose : -Tiens, je te passe Maman. Et en tendant le combiné, il en profite pour lui baisser la culotte et commencer à la doigter. Yvette commence à bégayer et à avoir de la peine à suivre à son tour la conversation. — Il se passe quoi ? Réclame le père. — Ton fils est en train de me sucer la motte répond-elle vertement. Il le fait super bien et surtout il n’a pas de panne avec sa lance incendie. — Je suis bien content pour vous et je vous laisse à vos turpitudes. — Adieu, adieu. Firent-ils en écho en raccrochant. — Salaud, j’avais de la peine à suivre ce que ton père me disait, mais qu’est-ce que c’est excitant de penser que je me fais sucer pendant que je téléphone à mon mari éloigné de milliers de kilomètres. Viens j’ai du retard à rattraper. 
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