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Nouvelle Eve
Datte: 12/04/2021, Catégories: Humour, Mature, Première fois
Je n 'aime rien temps que les surprises. Coup de canif dans la grisailledu quotidien. On peut parler de divine surprise. Celle-ci peut nousvenir d'une femme. Au contraire d'Adam je n’ai pas eu à me plaindre del'Ève du jour. Elle en avait le trait banal. Une collègue que jecroyais connaître si bien. Il est dommage qu'elle ne voulut jamaisdonner une suite à l'épisode. Celui-ci en a d'autant de charme et deprix. Je ne le conte pas maintenant sans émotion. C'était à une pause demidi. Nous nous étions furieusement ennuyés à une réunion. Des collègueset notamment de jeunes femmes s'éparpillèrent. A mon grand dam je dus mecontenter d'Isabelle. Ainsi était son nom.Elle n'était point vraiment jolie. Femme de quarante ans mais qu'on eûtcru sans âge. Elle n'en avait pas moins un corps plus qu'intéressant. Enle jargon mâle on eût dit : pas mal foutu. Ainsi me consolais-je d'unetelle considération tandis que nous nous tournions vers l'entrée du parcavec notre déjeuner débusqué au kebab le plus proche. Nous parlions parroutine boulot afin qu'il n'y eût trop de silences et que l'ennuipoisseux ne s'instille en notre échange. Nous montâmes une côte àl'ombre de grands arbres. Nous nous assurions d'être tranquilleséloignés du quidam. Nous dévorions à pleine dent nos viandes. Noussongions déjà à nos retours respectifs au bureau.Machinalement je vins à contempler et admirer le galbe des cuisses. Ouicette garce était bien foutue. Surtout je remarquais qu'elle n'avait pasà froid aux yeux à porter ...
... ainsi mini jupe et bas. Bref on lui voyait lachair blanche et succulente affleurer. C'était bandant. J'avais scrupuleà laisser ma queue s'épancher de la sorte. J'avais honte par ailleursque cette brune, visage revêche, cheveu court et qui put être unelesbienne ne décèle mon commencement d'érection. Je trouvais surtout quedevant moi elle ne fit montre de pudeur à croiser et décroiser ainsi lesjambes. Au bout de dix minutes j'avais vu maintes fois sa culotteblanche dont je pus dire qu'une partie était transparente.Mon intérêt dut enfin se trahir car tandis que je relevais la tête versson visage je vis celui-ci barré d'un sourire. J'étais pris la main dansle sac. Je rougis ce qui augmenta ce sourire. Penaud je baissais mesyeux. La conversation depuis un moment languissait. Nous avions épuisétous les sujets. De toute façon cela me gonflait. Je crus pouvoir pourdonner le change lui dire brutalement : "Tu sais par une belle journée,on s'en tape un peu de leurs conneries."Elle rit de bon cœur. En faitelle pensait même chose. Elle se releva d'un coup et me dit : "Marchonsun peu !" et de chantonner aussitôt la rengaine :"Promenons nous dansles bois."Maintenant je matais son joli cul. Elle me faisait inexorablement envie.Je la rattrapais et arrivé à son niveau nous écharnages un même regardcomplice. C'est elle qui me saisit la main la première. Elle me mena enun coin écarté sur un espace pentu. Là elle ouvrit le haut du chemisierafin que je vis le haut de seins qu'elle avait petits mais ...