1. L'amour est dans les prés (1)


    Datte: 12/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... remontèrent la robe, retirèrent le slip pour, à loisir, pétrir énergiquement les fesses de Samia, à nu (à poil ?). Puis il lui descendit les bretelles du corsage et se saisit de ses seins à pleines mains, pour les malaxer de ses mains rugueuses et les téter de ses lèvres assoiffées. Samia était aux anges, pelotée, embrassée, sucée, troussée, par un amant enthousiaste. Elle en aurait presque joui sur place… Mais elle ne voyait pas se faire culbuter comme ça, à la sauvette, malgré le parfum de foin et le romantisme pastoral de la situation. Elle se reprit, se rhabilla quelque peu et lui proposa d’aller chez elle. Cédric hésita : — Ton mari ? — Il était crevé ; il dort, lui répondit-elle, mentant sciemment, car elle savait bien le penchant de Didier pour le libertinage, ascendant candaulisme… Arrivés dans la maison qu’ils louaient, Samia emmena Cédric sur la terrasse, prétexta un besoin urgent et se rendit dans la chambre pour retrouver son mari, l’informer de la situation et quêter son aval. Didier l’embrassa tendrement, lui réaffirma son amour et lui assura que le plaisir qu’elle prendrait l’excitait par avance. Il lui demanda de venir le rejoindre, « après », pour qu’il le lui prouve. Le sourire aux lèvres, Samia rejoignit Cédric qui l’attendait, assis sur une chaise longue. Sans se déshabiller, elle s’allongea sur l’un des matelas. Son sexe la démangeait ; il avait besoin d’être pénétré, ramoné, limé, arrosé. Cédric se déshabilla, se coucha à son côté, et reprit ses ...
    ... caresses et ses baisers. Samia apprécia la fermeté de ses abdos, la robustesse de ses fesses, qui sauraient bientôt pousser en elle un sexe finalement pas si gros, mais long et dur comme un poignard, qu’elle prit en main et caressa avec légèreté, pour éviter de le faire jouir avant qu’il ne lui porte l’estocade. Il la caressait avec ferveur, termina de la dépoitrailler pour mieux la peloter, puis porta ses mains à son con, nu depuis les prémices champêtres, plongea un, puis plusieurs doigts dans un sexe qui bâillait de faim, les remua, provoquant gémissements et petits cris. Quand il la fit se retourner et se mettre à genoux, le cœur de Samia battit encore plus vite : ça y était, il allait la lui mettre ! Quand il frotta son gland entre ses lèvres, elle fut prise d’un long frisson, impatiente de l’accueillir dans son ventre affamé. Elle l’invita à entrer dans son ventre par un « Oui, baise-moi maintenant ». Il retroussa sa robe sur ses hanches, exposant ses fesses au clair de lune, puis promena son gland entre les lèvres de son sexe, la faisant grogner d’impatience… Samia se préparait à l’assaut, mais quelle ne fut pas sa surprise quand Cédric retira sa queue de l’entrée de sa chatte pour la placer en face de son anus… Avant même qu’elle n’eût le temps de protester, il s’enfonça lentement, puissamment, profondément en elle et, comme elle ne poussa qu’un seul cri, sourd, sans davantage se plaindre, il commença à aller et venir entre les reins de sa maîtresse. Passée la surprise de la ...