1. Monique


    Datte: 13/04/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, facial, Oral fist, pénétratio,

    Je travaille dans une petite entreprise où, depuis bien longtemps, les tâches ménagères sont confiées à des sociétés d’entretien. On voit rarement les mêmes têtes (ou alors cela ne dure jamais bien longtemps). L’avantage c’est que, parfois, on voit des têtes très agréables, parfois aussi des jeunes filles très délurées. Mais je dois dire que, passé l’effet d’optique souvent délicieux, toutes ces jeunettes ne sont plus trop de mon âge. Leurs belles plastiques ne sont plus qu’anecdotiques pour moi et je n’y trouve plus guère d’excitation. Dans ma jeunesse, je fréquentais minettes et midinettes, parfois même des lolitas. Mais, passé un certain cap, je me suis résolument tourné vers les femmes plus mûres, voire très mûres, toujours plus âgées que moi en tout cas. Dans ces conditions elles dépassent forcément la cinquantaine et avoisinent la soixantaine quand ce n’est pas plus. Le tournant s’est fait l’année de mes 33 ans, précisément à cause d’une de ces dames du personnel d’entretien. A l’époque, je me souviens que je dragouillais une jeune fille d’une vingtaine d’années, très grande, brune aux cheveux très longs, qui lui descendaient pratiquement jusqu’aux fesses, avec un petit cul d’enfer qu’elle déhanchait à loisir. Elle était sympa et loin d’être farouche. Ce n’était pas la première à qui je faisais des avances mais, pour me donner bonne conscience, je dirais que je n’étais pas non plus le seul de la boîte à courir ce genre d’aventure. La seule différence : c’est que ma ...
    ... femme de l’époque, je la détestais, profondément, depuis toujours. Et donc je n’avais vraiment aucun scrupule à la cocufier de toutes les façons qui soient, d’autant plus qu’elle me le rendait bien, notre union n’étant que pécuniaire. Il y avait donc cette grande brune qui trémoussait son petit cul dans les couloirs et moi, qui la matais à fond, en attendant qu’elle ne se décide à m’en donner un peu plus. Un jour, la voici qui s’arrête devant ma porte et nous entamons une conversation pleine de sous-entendus… J’en étais arrivé à « Mais que diriez-vous si je vous proposais d’aller boire un verre après le travail ? » et, sans tout à fait dire « Oui » elle ne disait pas spécialement « Non ». Quelques palabres plus loin et ce serait peut-être dans la poche… C’est alors qu’une petite dame, d’un certain âge, fit irruption devant la porte. Elle était en blouse, elle aussi, mais avait l’air sévère : — Carole, que faîtes-vous ici ? Je croyais vous avoir affectée au deuxième cette semaine ! La dénommée Carole obtempéra de suite, sans rien dire, et je me retrouvai d’un coup seul à seul avec cette petite femme revêche. L’instant d’avant, j’étais en train de bander comme un fou en pensant à ma jeunette et me voici face à cette « mal baisée » acariâtre, dont les rides trahissaient le nombre d’heures de vol et dont le seul attrait était d’avoir une poitrine opulente (mais dans quel état ?). Mon excitation est retombée d’un coup face à cette emmerdeuse. J’étais déjà en train de monter un plan ...
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