1. On est toutes l'avaleuse de quelqu'un


    Datte: 13/04/2021, Catégories: fh, hplusag, campagne, hotel, hdomine, cérébral, noculotte, Oral pénétratio, fsodo,

    La semaine dernière, je parlais au téléphone avec Jérémy, l’un de mes anciens amants. Il se plaignait de sa femme qui faisait un blocage sur la sodomie et refusait d’avaler son sperme lors des fellations. Ce fut l’occasion par la suite d’un débat passionné avec ma copine Marjorie, pendant lequel elle a eu une phrase pleine de bon sens : "On est toutes l’avaleuse de quelqu’un". C’est vrai. S’il y a des hommes avec qui cette pratique peut nous répugner, il y en a d’autres avec lesquels on ne se pose même pas de question et on avale tout, goulûment, voire on en redemande. Avec mon mec, je n’avale pas. Non pas parce que je n’en ai pas envie, en fait c’est lui qui fait un blocage. Il trouve ça "sale", dégradant. Je n’insiste pas car quelque part, ça m’arrange bien. Et pourtant, dans certaines conditions c’est quelque chose qui m’excite terriblement. Au début de ma sexualité, j’étais curieuse et c’est moi qui ai demandé à mon copain de l’époque d’éjaculer dans ma bouche car je voulais voir comment ça faisait. La texture ne m’a pas trop plu et j’ai tout recraché. Je me suis aussi bien rincé la bouche dans la foulée car le gars ne voulait plus m’embrasser. Quelques années plus tard, je suis tombée sur un type plutôt dominateur dont la sexualité était très inspirée par la pornographie. À chaque fois que je le suçais, il voulait jouir dans ma bouche car il était persuadé que j’aimais ça. En fait, ça me dégoûtait plus qu’autre chose parce que son sperme avait une odeur très forte et ...
    ... un goût âcre et amer. Mais une fois, il y a eu un déclic. Il se branlait tout en me caressant et quand je lui ai dit que j’étais au bord de l’orgasme, il m’a enfoncé son sexe dans la bouche et j’ai senti ses longs jets chauds couler au fond de ma gorge, tandis que j’étais en pleine jouissance. L’association des deux m’a particulièrement excitée et je me suis dit que si à chaque fois que je jouissais, il me faisait avaler son sperme, je finirais par y prendre goût et j’en redemanderais même. C’est d’ailleurs ce qui est arrivé par la suite. Tout est question de personne, tout est question de contexte. Cette phrase de Marjo a décidément réveillé bien des souvenirs. Mon passé érotique me revient, et je me rappelle un week-end au vert, il n’y a pas si longtemps que ça. J’avais une vingtaine d’années et mon amant du moment 15 de plus. C’était un Anglais qui vivait et travaillait en France depuis des années. Il m’avait draguée un soir dans un pub à Paris et nous nous étions revus. Après quelques semaines de sexe effréné chez lui ou chez moi, dans mon studio d’étudiante, il avait voulu m’emmener en week-end. Il occupait un poste à responsabilité dans je ne sais plus quelle grosse boîte, et il était blindé de thunes. J’ai dit OK et le week-end suivant, il est venu me chercher dans son cabriolet. La classe ! Après une heure de route, nous sommes arrivés dans un "domaine" en Bourgogne, un genre de château dans lequel il avait réservé une chambre. À peine avons-nous franchi le pas de la ...
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