Initiation d'une vacancière
Datte: 13/04/2021,
Catégories:
Lesbienne
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... l’en dissuada. Après tout, il ne faisait rien de mal. Et puis, ce n’était pas si désagréable de se laisser regarder. Elle se contenta de respirer plus fort, juste pour faire comprendre à son oncle qu’elle allait bien, sans avoir conscience qu’ainsi ses seins remuaient.Marc partit aussi silencieusement qu’il était venu. Claire se leva et s’étira. Une étrange lourdeur pesait sur son corps. Pourtant, elle avait les nerfs à fleur de peau. Elle ôta sa chemise de nuit, en regrettant qu’il n’y ait pas de glace dans la chambre. Elle aurait aimé s’examiner. Elle s’approcha de la haute fenêtre et appuya son corps nu au vitrage à petits carreaux. Elle ne savait pas pourquoi elle faisait ça, et se doutait que c’était mal, mais le lourd rideau de dentelle au crochet la dissimulait. De toute manière, la ferme était isolée.Claire resta un long moment à contempler le jardin derrière la maison et, au-delà, les prairies grasses et les haies touffues de la campagne normande. Bien qu’il fût à peine dix heures le soleil cognait fort. La jeune fille sentait la chaleur imprégner le voilage de coton. Cette tiédeur gagnait son corps, surtout son ventre. Ses bouts de seins durcissaient, phénomène qu’elle avait rarement connu ...
... jusque-là. Elle les frottait contre la dentelle épaisse et rugueuse des rideaux, attentive aux sensations bizarres qui naissaient en elle.A un moment, elle crut entendre du bruit du côté de la porte. Elle tourna vivement la tête, mais personne n’entra. Rassurée, elle reprit son manège. Une sensation de gêne s’installait entre ses cuisses. Un poids comprimait son bas-ventre, comme une envie de faire pipi, mais qui n’était pas désagréable.Claire mit les mains aux hanches. Une impulsion inexplicable la poussait à porter ses doigts à son sexe. Ce n’était pas la première fois qu’elle en avait envie, mais elle n’avait jamais osé passer à l’acte. Ses parents ne lui avaient-ils pas répété que c’était sale de se toucher là ? Cette fois, la tentation fut trop forte. Elle effleura les bords de sa fente, surprise de les sentir mouillés. Pourtant, elle n’avait pas l’impression de s’être oubliée.Elle aurait sans doute poussé son exploration plus loin si, à cet instant, sa tante n’avait frappé à la porte.— Claire ? Tu dors encore ? Tu ne vas pas rester au lit par une si belle journée !— J’arrive, tatie Sophie. J’allais justement m’habiller.A regret, Claire s’écarta de la fenêtre et rejoignit la chaise où étaient posés ses vêtements.