Fin de soirée arrosée (1)
Datte: 14/04/2021,
Catégories:
Lesbienne
... lèvres mi-closes. Elle reprend ensuite sa position initiale, frotte et caresse ses seins, comme si elle voulait les couvrir de ma pisse. Laura est chaude comme un volcan. Je ne pensais pas qu’elle puisse être excitée par ce genre de trucs. Ou bien est-ce l’effet de l’alcool ? Quoi qu’il en soit, sa main droite s’aventure maintenant entre ses cuisses. Elle se caresse mais très vite, elle se met à se doigter. Ses va-et-vient sont rapides, elle veut jouir tant que ma pisse coule encore sur elle. Mais malheureusement, elle n’en a pas le temps, car voilà que je n’ai plus rien à évacuer. — Déjà ? demande-t-elle, déçue, en me regardant dans les yeux et en arrêtant de se doigter mais en gardant néanmoins son majeur enfoncé dans sa chatte. — Oui... Comme Laura, je reste un peu sur ma faim, ce qui me surprend moi-même. Je n’ai pourtant jamais eu ce genre d’envies ou de fantasmes. Est-ce que je viens de découvrir quelque chose sur ma propre personnalité ? Je me dis plutôt que c’est l’alcool, et également que je me suis laissée entraîner par ...
... Laura. Cette dernière, en se relevant, me tire d’ailleurs de mes pensées. — Bon, il me semble que je devais m’occuper de ton petit cul, non ? htchaapw — Tu te fous de moi !? T’étais déjà limite sous l’eau ! — Aller, fais pas ta chieuse ! rigole-t-elle. En soupirant et à contrecœur, mais malgré tout excitée, je me mets alors à quatre pattes, mon postérieur tourné vers elle. Immédiatement, elle s’agenouille derrière moi, avec son pouce d’un côté et le reste de ses doigts de l’autre elle écarte mes fesses, puis elle dépose un léger baiser sur mon petit trou. L’index et le majeur de sa main droite viennent alors se poser sur mon dos. Laura les déplace ensuite, de la même manière que si elle avait voulu imiter avec ses doigts un bonhomme en train de marcher. Bien trop rapidement à mon goût, ils parviennent à destination, entre mes fesses que Laura maintient toujours écartées. D’un instant à l’autre, son index forcera l’entrée de mon petit trou, et je ne tarderai pas à oublier ma gêne pour me laisser aller au plaisir qu’elle me procurera alors.