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Julien
Datte: 14/04/2021, Catégories: fhh, piscine, massage, revede, hh, init, intermast, Oral hsodo, fantastiqu,
... sautillant il rejoint la partie de la piscine où il a pied. Je l’accompagne, le pousse même dans la bonne direction. — Que… Qu’est-ce qui m’arrive ?— Voilà ce que c’est de calomnier ceux que tu crois à tort absents !— Tu… tu veux dire que le fantôme de Bill est dans cette piscine ?— Oui, cela fait plusieurs jours que je m’en suis rendu compte. J’enveloppe ses cuisses d’ondes liquides. — Ooh !— Qu’est-ce qu’il y a Maxime ?— C’est l’eau… Comme si elle me massait.— C’est sa façon de communiquer.— Je peux lui parler ?— Essaye, tu verras. Maxime hésite. Il ouvre la bouche, la referme. Je devine qu’il a peur du ridicule. Pour l’encourager, je l’enveloppe de mes ondes. Il se lance. — Dis Bill… Tu m’en veux pas ? Tu sais, c’est façon de parler… Je voulais pas te faire de la peine… J’écarte le tissu léger du short. Il ne porte pas de slip, je me glisse à l’intérieur et agite les testicules. — Ooh !— Il te fait mal ? J’appuie ma caresse. — Oh non ! Euh… je voulais dire c’est bizarre.— Bizarre ?— Ou… oui. À force de vibrations, le short glisse vers le bas dégageant le sexe. — Agréable ? interroge Sophie.— Ou… oui.— Ça veut dire qu’il te pardonne, Maxime. Laisse-le faire, tu verras c’est étonnant. Fort de l’encouragement je manipule la verge et j’ai la satisfaction de voir mes attentions récompensées ! Au bout d’une petite minute environ, j’enveloppe comme si je la tétais une tige bien raide. Le garçon ne bouge plus. Il ferme les yeux, concentré sur les caresses que je m’efforce de ...
... dispenser. Hé ! Hé ! C’est qu’il a l’air d’apprécier le bougre ! Il ouvre et ferme la bouche sur un cri silencieux. — Eh bé ! Si tu voyais ta tête ! On dirait que ça te plait ce qu’il te fait ! T’as oublié que c’est le fantôme d’un garçon que tu accuses d’être une pédale qui te procure cette jouissance ? Maxime, vexé, échappe à mon emprise. Il grimpe l’échelle et émerge de l’eau la queue pointant droit devant lui. — Effectivement, se moque Sophie, tu peux pas nier ton plaisir ! Le jeune homme remonte son short en grommelant et disparaît de ma perception. Je suis « tout chose » d’avoir manipulé le symbole de la virilité masculine. J’ai l’intime conviction que j’ai déjà pratiqué cette caresse dans ma vie… j’allais dire antérieure. Comment expliquer autrement que les mouvements de succion sur le sexe raidi me soient venus spontanément ? Maxime et sa sœur auraient-ils raison ? J’étais peut-être homo avant de rencontrer la jeune fille ? J’ai hâte de voir, non de toucher le dénommé Julien. À son contact les souvenirs réapparaîtront… j’espère… Je me rends compte brusquement que depuis le plongeon de Maxime dans la piscine, j’ai négligé de caresser la main que Sophie laisse à ma disposition. Je me concentre sur les doigts reproduisant les tétées comme sur des petits sexes. — Ah tout de même ! Les garçons ont-ils un tel pouvoir sur toi que tu m’oublies ? Je veux l’attirer dans l’eau. Elle retire la main. — Non ! Pas tout de suite. On verra si tu en as toujours envie quand Julien sera là ! ...