Jessica, ma meilleure amie 4
Datte: 14/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Hardcore,
Humour,
... j’aurais cru possible en accomplissant ce fantasme au-delà de toute limite. Je ne crois pas que ça t’ait déplu, pas vrai ?Je secouai la tête. Elle avait complètement raison.- Je crois que tu penses trop, reprit-elle. Je ne sais pas où on va mais tout ce que je peux te dire, c’est que ce moment présent, cette soirée, cette partie de baise démente qu’on a vécu, nous a fait du bien à un moment où on avait besoin de nous faire du bien.Sa sincérité m’a beaucoup touché. Au fond, à qui faisions-nous du mal ? Nous étions tous les deux célibataires, très complices. J’étais vraiment con de me prendre autant la tête. En tout cas, je suis resté sur cette idée et à 3h du mat passé, je n’avais plus le courage de débattre avec elle.J’aidai Jessica à changer ses draps, refis une rapide toilette et me dirigeai vers la chambre d’ami. Les parents de Jess revenaient plus tard dans la matinée et je ne tenais pas forcément qu’ils sachent que ma relation avec leur petite fille chérie avait tournée au stupre.Je m’effondrai sur les draps bien frais et me laissai gagner par le sommeil, juste perturbé par mes douleurs lombaires.Un discret mouvement de matelas me réveilla. Le soleil pointait le bout de son nez à travers les volets, et à travers mes yeux encore embrumés de soleil, je vis que le réveil annonçait 9h. Petite nuit… mais depuis mes sciatalgies, je ne dormais pas beaucoup de toute façon. D’autant que ce n’était pas mon lit, et c’est toujours perturbant de changer de matelas.Une présence se ...
... lovait contre moi.- Jess ? dis-je d’une voix pâteuse.- Oui, c’est moi.D’un autre côté, je ne voyais pas bien qui ça aurait pu être d’autre.- Qu’est-ce que tu fais ?- Crise d’angoisse, répondit-elle d’une petite voix étranglée.Cela lui arrivait souvent. Normal avec une opération à cœur ouvert prévu pour la fin de l’été. Je me retournai de l’autre côté pour la serrer contre moi en cuillère. Elle portait une nuisette bleu nuit au toucher soyeux, avec de la dentelle noire. Je sentais les reliefs d’une culotte sur ses hanches. Ses cheveux me chatouillaient les narines. Elle tremblait, et je sentais son cœur battre la chamade contre mon torse. J’attendis un moment qu’elle se calme. C’était la première fois que je la prenais comme ça dans mes bras. Je fis cela de façon très naturel, pour l’apaiser. Je fus frappé par l’affection que j’avais pour cette fille.Depuis cette nuit, nos rapports amicaux avaient pris un tournant radical qui dépassait tout ce que j’avais pu envisager dans une amitié homme/femme.Une citation de Nietzche me vint en tête, assez étrangement.« Celui qui lutte contre les monstres doit veiller à ne pas le devenir lui-même. Or, quand ton regard pénètre longtemps au fond d'un abîme, l'abîme, lui aussi, pénètre en toi. »Je fuyais aussitôt les abîmes de mes pensées et le monstre qui y habitait quand la voix de Jess reprit.- C’est dingue comme tu m’apaises… enfin, tu m’excites et tu m’apaises en même temps.Je ris. La chaleur de son corps, ses formes, n’arrangeait pas mon ...