1. Séance photo


    Datte: 14/04/2021, Catégories: fh, couple, douche, volupté, strip, photofilm,

    ... frémissante qu’elle sentait si proche d’une explosion libératrice et retenue. Sans lâcher sa nouvelle prise, elle fit asseoir Mathieu sur le bord de la baignoire. Elle s’agenouilla devant lui et engloutit le pénis dans sa bouche gourmande sans dire un mot. Mathieu semblait ronronner. Il luttait avec l’énergie du désespoir contre une jouissance qu’il désirait tant et qu’il ne pourrait plus retenir très longtemps. Lorsqu’il sentit les doigts espiègles de Laurence lui soupeser les testicules avec application, il émit une sorte de râle, comme un avertissement, un signal ultime d’une déferlante de plaisir indomptable. Laurence le sentit. Elle dégagea le sexe de sa bouche juste le temps d’un sourire entendu et satisfait. — Viens mon chéri, je veux te boire… susurra-t-elle simplement avant de reprendre le pénis exacerbé dans sa bouche avide et amoureuse. Dans un dernier et vain effort, Mathieu ne put retenir un orgasme puissant et formidable qui jaillit en plusieurs jets chauds et saccadés que Laurence avala avec une délectation jusqu’alors inconnue. Par moments, elle retirait le sexe de sa bouche et regarda la semence jaillir en saccades irrégulières. Elle savait qu’à ce moment ses doigts pourtant câlins devenaient maladroits et douloureux, elle laissa donc le gland crier son extase ...
    ... et, tout en l’arrosant avec l’eau tiède de la douche, elle passa sa langue dans la broussaille brune du pubis, tourna autour de la base de la verge frémissante et pourlécha les testicules encore gonflés. Elle se sentit soudain tellement amoureuse, tellement bien, c’est un peu comme si elle était subitement propriétaire des attributs masculins qui venaient de céder à ses assauts de caresses. Mathieu l’attira doucement vers elle et le baiser qu’ils échangèrent alors gagna en profondeur et en intensité ce qu’il perdit en fougue. Il était simplement passionnément langoureux. Ils restèrent un moment serrés dans les bras l’un de l’autre, laissant le silence exprimer leur bien-être et leur bonheur. Silence que la voix de Laurence, douce et reposée, vint taquiner. — Tu comptes continuer les photos ? Demanda-t-elle, une pointe de malice dans la voix.— Peut-être, pourquoi ?— Alors, c’est moi qui les prendrai. On les fera au salon. Elle l’embrassa tendrement avant d’ajouter d’un sourire craquant : au salon, il y a le canapé.— Les photos, on les fera où tu voudras, mon amour. La salle de bain, savamment et méticuleusement repensée et décorée par Laurence avait vraiment une âme. Une âme nourrie du murmure de l’eau, de la chaleur du soleil et de soupirs. Plein de soupirs. Et de beaucoup d’amour… 
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