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Camping... forcé !
Datte: 15/04/2021, Catégories: ffh, fbi, jeunes, inconnu, vacances, bain, forêt, campagne, hsoumis, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation attache,
... m’assurer que le couple ne s’était pas rapproché par hasard ; il avait disparu ! ils avaient dû reprendre leur chemin. Je m’abandonnais alors à une vilaine masturbation débridée. Ma main se mit en mouvement. Mon sexe gonflé se raidit et commença à mouiller. Je sentais le plaisir m’assaillir et les rayons du soleil chauffant ainsi mon entrejambe décuplaient mes sensations. Mes couilles étaient chaudes, ma bitte était chaude, dure et luisante ; sentant l’orgasme m’envahir, je levais mes fesses et projetais mon bas ventre vers le ciel comme pour toucher le soleil de mon gland lorsque je vis mon foutre gicler en l’air de toute sa puissance en longs jets épais qui retombèrent sur tout mon corps…. Je n’avais pas joui de la sorte depuis longtemps. J’étais couvert de grosses tâches de foutre et plongeais de nouveau dans le lac pour me nettoyer. J’enfilais alors mon slip et mon short et reprenais mon chemin torse nu, le corps et l’esprit reposés. Je marchais de nouveau au travers de la forêt et me dirigeait vers un endroit que la carte indiquait comme étant plat et peu boisé et qui devrait convenir pour planter ma tente pour la nuit. Mais, j’en étais encore loin lorsque le ciel s’assombrit et que le tonnerre grondait au loin. Je pensais échapper à cet orage mais je dû l’admettre vite, il se dirigeait en plein sur moi ! J’accélérais mon pas mais bientôt les premières gouttes tombèrent. J’ai alors couru jusqu’à perdre haleine. Je distinguais alors une petite clairière qui se trouvait ...
... à pic d’une falaise haute de plus de vingt mètres. Je finissais ma course haletant lorsque j’aperçus une tente déjà en place ! La clairière n’étant pas grande, je commençais à déballer ma tente pour la planter le plus loin possible de l’autre. La pluie tombait drue et j’en était encore à planter mes piquets. Tout à coup le vent souffla en puissantes rafales et la grêle s’abattit sur moi ! Les éclairs déchiraient le ciel, le tonnerre redoublait d’intensité, le ciel était noir d’encre et on n’ y voyait plus rien. J’étais transi de froid et complètement épuisé. La grêle me transperçait le dos, je n’y voyais plus rien et le vent devenait incroyablement fort. Tout à coup, je poussais un cri d’effroi lorsque je vis ma toile de tente s’envoler et disparaître dans le ravin ! Je me retrouvais sans abri sous une pluie glaciale au milieu des éclairs ! J’entendis alors une voix qui hurlait entre deux grondements et je distinguais tant bien que mal un petit bras qui s’agitait dans l’ouverture de l’autre tente. J’accourais sans me poser de question et m’engouffrais dans ce frêle mais inespéré abri. Des bras m’aidèrent à rentrer dans la tente en me traînant sous les aisselles. Je cherchais vainement à apercevoir mes secouristes, mais je me suis retrouvé allongé sur le ventre sans bien les distinguer dans la pénombre . Enfin, je reconnu la fille du couple que j’avais déjà aperçu . Mes lèvres étaient gelées et je tremblais tellement de tous mes membres que j’arrivais tout juste à balbutier « ...