Première rencontre avec Carmen
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
nympho,
grosseins,
lunettes,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
BDSM / Fétichisme
massage,
entreseins,
nopéné,
jeu,
init,
confession,
inithf,
... grimaces, elle m’offrait tantôt une moue facétieuse et compatissante, tantôt un sourcil froncé et insolent. J’étais comme ensorcelé et la trouvais maintenant bien plus belle, désirable, effrontée et envoûtante, que plus tôt dans la journée. Régulièrement, elle venait lubrifier et tapisser de salive la zone où se frottaient nos anatomies. N’arrivant pas à distinguer desquels la sensation ou le bruit de ses crachats m’excitaient le plus, j’accompagnais chacun d’entre eux d’un long gémissement aigu, ce qui la poussait chaque fois à réitérer et à en réduire l’intervalle. Je savais que je ne parviendrais pas à me retenir bien longtemps, et faisais tout ce qui était en mon pouvoir pour l’exprimer et le lui faire comprendre. — Carmen, je… Oh ! La vache !…— Allez, mon grand. Profite de ce qu’il t’arrive. Rrrrrptfff. Allez, tiens ! C’est ça ! Ça te plaît, pas vrai ? Rrrptff. Attends. Voilà. Encore ? Ptff. Encore… Rrrpff. Cochon, t’aimes ça, hein !— Non, sérieusement, Carmen… Oh ! Merde… Ah… Doucement, attention, Carmen, non… Aaah… Aaah… non… AaAaaAh… Gnnnnnnn… Sentant que j’atteignais mon paroxysme, elle cracha une derrière fois sur mon gland, puis secoua ses seins l’un après l’autre aussi vite et fermement qu’elle le pouvait. Mon bassin se trémoussait dans tous les sens sans que je ne puisse y faire quoi que ce soit. Au point de non-retour, dans ce qui me parut durer une éternité, Carmen, qui accélérait toujours plus ce geste dément qu’elle alternait et maîtrisait à la perfection, ...
... me fixait d’un air sauvage et féroce. Sa bouche pulpeuse, crispée par un rictus animal, faisait apparaître ses dents blanches écarlates et donnait l’impression de vouloir me dévorer les joues. Le temps s’était ralenti et s’étirait à l’infini. L’aspect bestial et presque immoral de la situation, le bruit du martèlement de la chair contre la chair, celui de la succion engendrée par la quantité hallucinante de salive qui me coulait jusqu’entre les cuisses, les jeux de regards langoureux et aguicheurs, les encouragements suaves et lancinants, pas le moindre détail de tout ce qui venait de se produire allait quitter ma mémoire. Elle avait eu raison sur toute la ligne. — Allez, mon grand. Montre-moi un peu… Donne-moi ce que je veux. Lâche-toi !… Allez, mon petit salaud, allez ! La puissance de l’orgasme qui s’annonçait m’avait rendu liquide, et je m’étais recroquevillé au plus profond du canapé avec un léger sifflement à peine perceptible. Ma tête s’était coincée entre deux des coussins jusqu’à me couvrir les oreilles. Mes yeux, ronds comme des billes, avaient roulé en arrière. Je ne voyais ni n’entendais plus rien. — Voilà ! Ça, c’est un bon garçon !… C’est bien ! Allez, ne te retiens plus… Oh là ! Ah ! Ah !… Continue ! C’est ça. Allez… Une vague me submergea, m’envahissant d’étoiles et de coton, accompagnée d’un doux frisson qui me fit se dresser tous les poils de mon corps. Jusque dans mes os, je ressentais s’enchaîner les spasmes et les ondes. Au premier jet, je redressai ma ...