1. Les amis de ma mère... (1)


    Datte: 02/11/2017, Catégories: Gay

    ... maintenant. On a passé toute la soirée dehors, et personne n’est revenu, on se demande donc si tout va bien et nous rentrons les chercher. Pas le temps de passer la porte qu’on a déjà retrouvé Pierre et Jean, les deux rigolent aux éclats. Ils sont suivis du reste du groupe, plus besoin de les chercher donc. Sébastien pose sa main sur mon épaule et me dis qu’il va aux WC, maintenant que j’y pense, j’ai besoin d’y aller aussi, je le suis donc. Les WC de cette boîte sont grands, ce qui change des autres endroits. Il y a 5 cabinets fermés, sans espace ni en haut ni en bas, et toute une rangée de pissotières. Vu que la pièce est grande on est pas serré contre les gens. Mais il y a quand même du monde qui fait la queue. Les pissotières étant la cible principale de la majorité des personnes, on attend qu’un cabinet se libère. Il y a encore du monde qui entre, et malgré la taille des toilettes, nous commençons à être serrés. Une porte s’ouvre enfin, et Sébastien se rue dedans. Il se tourne vers moi, et me fait signe de venir, plus par reflexe qu’autre chose j’entre, puis, après qu’il ai fermé, je lui demande pourquoi il m’a fait entrer. Il me répond judicieusement que ça va nous faire gagner du temps si on pisse ensemble plutôt que d’attendre encore, pas faux... Je déballe donc le matériel, non sans gêne, et commence mon affaire en regardant fixement devant moi. ’Bel engin’ me viens aux oreilles, je tourne la tête et Seb me regarde en souriant. Gêné, je le remercie timidement, puis ...
    ... me remet à fixer le mur. Il continue et me dis que les filles doivent aimer, je lui dis que ça leur suffit en effet, à ce qu’on m’a dis en tout cas. D’un coup une question me viens en tête, je lui demande donc, puisque le sujet en est au sexe, s’il est actif ou passif. Étonné, il esquisse un sourire et me dis qu’il est actif, il esquisse un mouvement comme pour dire quelque chose, mais il s’arrête, puis il reprend en me disant que c’est pas facile, car peu de monde supporte sa queue. Je ne comprends pas immédiatement, et curieux, je la regarde : elle est ÉNORME, même au repos. Même en bandant je ne suis pas aussi bien monté. Timidement je détourne le regard et lui répond qu’en effet ça doit être dur... Mais que s’il est avec Olivier c’est que celui-ci doit s’y être habitué, non ? Il ris, moi je ne comprends pas. J’ai fini, et lui aussi, donc nous rangeons et sortons. On retourne dehors, et on croise Olivier, qui nous dis que Jean ne va pas tarder. Ma mère et tout ceux qui sont montés avec lui vont partir donc... Il nous annonce aussi que Pierre a trouvé chaussure à son pied et qu’il ne rentrera sûrement pas avec nous. Il me demande aussi si je veux rentrer en même temps que tout le monde, ce à quoi je lui répond que non, pas nécessairement, tant qu’ils s’amusent on peux rester, il me remercie et dis que ça tombe bien il a croisé une ’connaissance’ et qu’il s’absente une petite heure. Je suis surpris qu’il annonce ça devant son copain sans plus de gêne, mais celui-ci lui souris ...
«1234...7»