1. Les amis de ma mère... (1)


    Datte: 02/11/2017, Catégories: Gay

    ... de plus en plus... A chaque va-et-viens il pousse, mon oeusophage s’étire petit à petit, jusqu’à ce qu’il m’attrape la tête des deux mains et pousse d’un coup sec toute sa verge dans ma gorge... Je ne m’attendais pas à autant de violence d’un coup, ma gorge est étirée à fond, sa queue bien logée dedans. J’ai le nez dans ses poils pubiens, il reste comme ça quelques instants puis me laisse reprendre mon souffle. Je tousse, je bave, mais je suis fier. Il ne me laisse pas plus de répit et m’attrape à nouveau par les cheveux des deux mains et replante sa colonne de chair dans ma bouche. Un coup sec et c’est dans la gorge qu’elle retourne se loger. Il l’a ressort doucement jusqu’à que je sente son gland sur mes lèvres, puis d’un coup sec revient titiller mon nez avec ses poils. Et il recommence encore et encore, sortant de moins en moins, mais rentrant de plus en plus violemment. Il sort juste assez pour que je puisse respirer puis il me baise la bouche pendant quelques minutes. J’ai les yeux qui pleurent, de la bave coule le long de sa queue, sur mon menton et un peu partout. Un dernier mouvement encore plus sec que les autres, et il sort entièrement. Tirant sur mes cheveux, il me fait lever et tourner dos à lui. La main devant ma bouche, il me fait cracher dedans pour lubrifier mon anus. Il me rentre un doigt, puis deux, puis trois, et avec un peu de travail, entre le quatrième sans soucis. Il me reprend de la salive, l’étale, puis me met la main sur ma bouche. Je sent ...
    ... quelque chose sur mon anus et je devine son chibre. Il pose son gland et met un à-coup... Il a bien fait de me mettre la main sur la gueule, parce que sa queue rentre d’un coup et viens déchirer mes entrailles, je lâche un cri de douleur. En réalité, elle n’est pas entrée entière, à peu près les trois quarts... Étant donné l’engin c’est énorme. Il reste immobile, la main toujours sur ma bouche, quelques instants, puis entame les mouvements, doucement, à ce moment là, la douleur laisse place au plaisir. Sa main à tout d’abord étouffé les gémissements de douleurs, puis ceux-ci ce sont transformés en gémissements de plaisir. Doucement, avec les va-et-viens, sa verge s’enfonce de plus en plus profondément, jusqu’à ce que son ventre vienne taper mes fesses. Ses boules viennent, à chaque mouvement, taper sur mon cul. A l’oreille il me glisse qu’il va y aller fort, sinon la sécurité va se demander ce qu’on fait, J’acquiesce, je ne peux rien dire avec sa main qui m’en empêche. Comme promis, il se met à intensifier ses coups de reins, sa queue me fait à la fois défaillir et souffrir. Mon anus est rempli, je suis au bord de la jouissance et sa main ne suffira bientôt plus à étouffer mes cris. Heureusement, il se retire d’un coup, m’attrape les cheveux et me fout sa pine dans la gueule. Pas de gêne, il se remet à me baiser la bouche, mais au bout que quelques mouvements, il la plante au fond de mon oeusophage et cesse ses mouvements. Je met un instant à comprendre, et je suis surpris par le ...
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