coquineries en famille au bord de la piscine (1)
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... stupéfait par ce qui se passait. Quelle journée ! J’avais commencé par découvrir que ma mère était une vraie cochonne prête à baiser avec son propre fils, et maintenant voilà ma petite soeur en train de sucer amoureusement la bite de son papa ! En parlant de ma mère, j’avais presque oublié sa présence. Je tournais la tête, elle était toujours là, souriante, visiblement absolument pas choquée. Lorsqu’elle remarqua que je la regardais elle se rapprocha de moi, passa sa main sous ma serviette et doucement remonta sur mon sexe. A nouveau elle entreprit de me masturber, sans toutefois quitter des yeux le très excitant spectacle de sa fille en train de sucer son père. Lui semblait ravi. Il se tourna vers ma mère : — Josiane, ma chérie, elle est géniale, notre fille ! Je savais qu’elle était douée pour plein de choses, mais à chaque fois je suis surpris ! — Oui chéri, répondit ma mère. Mais c’est parce qu’elle aime ça ! Mais c’est pas la seule chose qu’elle aime. Sophie, ma chérie, et si toi aussi tu te mettais à quatre pattes. Ton père est fatigué, une petite détente lui fera le plus grand bien ! — Ok maman, avec plaisir ! Et voilà ma soeur chérie qui à son tour se met à genoux sur une serviette et lève le cul bien haut, écarte légèrement les jambes pour offrir son petit abricot aux regards de son papa. Comme si tout ça était très naturel, mon père se positionna derrière elle. Son regard était brillant d’émotion. Il admira quelques secondes le fantastique petit cul de sa fille, ...
... le caressa délicatement. Qu’il était beau ! Pendant des années il n’avait pu s’empêcher de les mater, ce petit cul et cette jolie petite minette que sa fille promenait avec provocation devant ses yeux. Combien de fois il avait eu envie d’y fourrer le nez ! Pour une question d’age légal il ne s’était rien permis de tenter, mais maintenant que Sophie était non seulement majeure mais aussi super consentante, il avait bien l’intention d’en profiter. Il écarta alors les deux globes de ses fesses pour bien voir la petite fente si convoitée. Il promena délicatement un doigt dessus, rentra son doigt dans le vagin, et le remua doucement. Lorsqu’il le retira, il constata avec plaisir que Sophie était trempée, ce qui était bon signe. Il sourit. — Sophie, tu es prête ma chérie on dirait. — Oui papa, vas y. Il dirigea alors sa bite vers la fente de sa fille et il la fit pénétrer en douceur, entièrement dans l’étroit vagin. — Putain, que c’est bon ! lâcha- t- il, en extase. Tu es tellement bonne, ma fille ! — Toi aussi, papa ! Elle est très bonne, ta queue. Vas y, baise moi ! Mon père entâma alors une série de lents va et vient qui arrachèrent à Sophie ses premiers gemissements de plaisir. Tous les deux étaient très beaux à voir. Ma soeur semblait toute petite, toute menue à côté de mon père qui était très costaud, enveloppait Sophie par sa taille immense. C’était impressionnant de voir l’énorme masse de mon père s’affairer sur ce petit gabarit qu’était ma soeur, sa queue énorme aller et ...